Story cover for Brisé mais invincible... by labestie2011
Brisé mais invincible...
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Ongoing, First published Jan 10
Mature
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RÉSUMÉ 
Je ne pouvais rien faire, j'étais paralysé. Je n'étais même pas majeur.17 ans. Je voulais crier mais les mots ne sortaient pas,mon cœur me faisait mal. Les larmes me montaient aux yeux mais ne coulaient pas, mes mains tremblaient.

1 SEMAINE AVANT 

Je n'en pouvais plus mon père me battait. Encore.tout ça par ce que je ne l'avais pas prévenu que j'allais chez ma tante. Il pensait que j'allais m'enfuir. Compliqué. Moi la jeune femme que j'étais a l'intérieur voulais porter des robes et des talons mais...
J'étais dans la salle de combat en m'entraînant a donner des coups de pieds dans le vide quand samy un de mes seul collègue qui me respectait entra
     - ton père veut te voir dans la grande salle.
    - j'arrive dis- je en soupirant 
J'étais dans la salle effondré au sol en pleurant. J'avais supplier mon père se serait mal le connaître si il aller changer d'avis. Son bras droit Sergio me regardait en souriant, c'est sur que lui pouvais être heureux, j'allais perdre se qu'il ya de plus pressieux a mes yeux...
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14 parts Complete

« Il » arrivait. Mes tremblements étaient incontrôlables. Il a ouvert ma porte. Je me suis roulée en boule sur mon lit. Il s'est approché, et, sans un mot, m'a prit par le bras. Il m'a emmené dans le coin d'ombre de ma chambre qui servait de lieu de torture. Quand il n'était pas la, et que j'étais dans cette pièce, mes yeux s'arrangeaient toujours pour l'éviter. Je ne m'approchais jamais volontairement. J'ai fermé les yeux et ai serré les dents. Je ne voulais pas crier, pas cette fois. Je ne voulais pas lui faire ce plaisir. Ce qu'il aimait ? Mon sang. Mes cris. Mes larmes. Ma douleur. Il avait toujours sur lui quelque chose pour me faire du mal. Une lame. Une lanière de cuir. Autrefois, je résistais. Je me débattais. Puis, avec le temps, j'ai finis par comprendre que si je me laissais faire, ça se terminait plus vite. Alors, j'ai arrêté de résister. J'étais devenue son jouet. Puis il repartait. Il me laissait roulée en boule sur le sol, les bras et le dos abimés par le cuir. Je pleurais. De douleurs. Et de rage. Surtout de rage. Parce que j'avais encore crié.