Je n'ai jamais su où poser mon cœur...
Il y a des maisons où l'on apprend à se taire.
Des silences qui laissent des marques invisibles.
Des cœurs qui battent trop fort...
juste pour se faire entendre.
Maria porte cela en elle.
Une mémoire faite de soupirs retenus,
de mains tendues sans réponse.
Jusqu'au jour où le silence s'est mis à parler.
Où les étoiles ont cessé de fuir.
Et où un regard, sans promesse,
a touché ce qu'elle croyait mort en elle.
Et cette question :
Et si l'on pouvait réapprendre à vivre ? À aimer ?
Dans la fragilité des gestes, les promesses naissent en silence.
Et parfois, sous un ciel étoilé,
le cœur ose croire qu'il a, lui aussi, le droit à la douceur.