"𝐏𝐫𝐨𝐦𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐃'𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫, 𝐀𝐮𝐱 𝐓𝐫𝐚𝐡𝐢𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐃𝐞 𝐇𝐚𝐢𝐧𝐞𝐬"
Au début, il m'a regardée d'un regard froid, comme si j'étais invisible. C'est là que notre histoire a commencé, dans ce silence lourd. Il me surnommait "𝐬𝐞𝐧𝐢 𝐬𝐞𝐯𝐢𝐲𝐨𝐫𝐮𝐦 𝐛𝐞𝐲𝐚𝐳 𝐜̧𝐢𝐜̧𝐞𝐠𝐢𝐦" parce que je portais toujours des bijoux de fleurs blanches, comme si ce geste symbolisait l'innocence et la pureté de notre lien.
Mais c'est sa sœur, Zeïna, qui m'a finalement dit ce qu'il y avait derrière ce regard, ce qu'il me cachait à chaque sourire, chaque promesse. Elle m'a révélé les secrets qu'il n'osait pas avouer, et c'est là que tout a basculé.
Il m'avait promis des rêves, des mots tendres, des serments d'amour. Mais au fil du temps, ces promesses sont devenues des mensonges, et la trahison a frappé, brisant tout ce que je croyais vrai. La haine, la colère, les larmes... Tout est devenu flou dans un tourbillon de douleur.
Il s'est perdu dans la drogue, fuyant la souffrance, noyant sa conscience dans la facilité. L'Islam lui rappelait la voie de la rédemption, mais il l'a ignorée. Ses promesses n'étaient plus que des échos dans le vide. À la fin, il n'est resté que la déception, l'amertume, et la peur de ce qu'il était devenu.
Nous étions deux âmes brisées, dans un monde où les promesses n'étaient que des illusions. Le bijou que je portais, symbole de tout ce que nous avions partagé, n'était plus qu'un souvenir douloureux. Il ne restait que la colère, la douleur de ne pas avoir su garder ce qu'on avait construit, et cette phrase qu'il me disait : "𝐬𝐞𝐧𝐢 𝐬𝐞𝐯𝐢𝐲𝐨𝐫𝐮𝐦 𝐛𝐞𝐲𝐚𝐳 𝐜̧𝐢𝐜̧𝐞𝐠𝐢𝐦". Mais ce n'était plus que des mots vides, des promesses non tenues.
Chronique réel, passage fictif