DAVIS MEXES: Quand deux âmes perdues se rencontrent...

sans gêne, Il commence à retirer son pantalon.
Je me remets à baver lorsque je vois sa bosse bien dessinée dans son boxer. je remercie le ciel de m'avoir rendue noire, sinon j'aurai viré rouge cramoisie.
Bordel, cet homme est juste trop canon et il le sait. Il n'y a rien de plus dangereux qu'un homme qui sait qu'il est beau.

- Donne-moi le mot de passe, je veux partir.
- Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans « je n'ai pas envie »?
- Tu te rends compte que tu me retiens captive, c'est une détention illégale. Tu aggraves ton cas.

Il est très habile, ses mouvements sont calculés, il sait ce qu'il fait. Il s'approche de moi tel un félin, me regardant avec appétit. La respiration saccadée je peine à respirer, une chaleur soudaine m'envahit.

- Reste avec moi ce week-end.

Sa demande impromptue me laisse sans voix. Il est réellement déterminé dans sa quête de me conquérir. Bien que je n'aie aucune envie de lui donner de faux espoirs, mon être entier le réclame. Il m'attire tellement que je suis incapable de lui résister.

- Mexès...
- Accepte, s'il te plait...
- Je passe le week-end avec toi à la seule condition qu'après tu démissionnes et disparais de ma vie
- Tu ne crois pas que tu en demandes un peu trop, Julia ?

L'entendre prononcer mon prénom dans une telle susurre me procure de belles sensations.

- Non. Je pense que ma proposition est raisonnable.
- Jamais je ne l'accepterais. Et de toute manière tu es déjà là, pourquoi diable partirais tu? Ma décision est prise, tu restes et c'est non négociable!

Dépourvu de tout embarras, il descend son boxer, se retrouvant complètement nu, le troisième membre déjà bien tendu me fixe. Bon sang, je n'arrive toujours pas à réaliser qu'il possède un tel bijou.

Je ferme machinalement les yeux, puis je lui fis dos.

- Tu as peur de regarder ce qui t'appartient ?

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(je t'invite à co