Il est son pire cauchemar. Elle est son plus grand défi.
Cassian Moretti, chef impitoyable de la mafia italienne, est une légende vivante dans le monde du crime. Grand, aux yeux glacés et à la mâchoire sculptée par la violence, son corps est une carte des enfers : des tatouages noirs serpentent sur son cou, son avant-bras, son torse et son dos - des cicatrices vivantes d'un passé sanglant. Froid, contrôlant, il méprise la faiblesse... surtout lorsqu'elle prend les traits d'une femme.
Mais Aelya D'Aragon, elle, n'a rien d'une victime. Fille d'un trafiquant espagnol rivale, belle, vive, arrogante, au regard de feu et à la langue acérée, elle refuse de plier. Capturée lors d'un règlement de comptes et forcée à épouser Cassian dans un jeu de pouvoir brutal, elle devient l'arme qu'il n'a jamais su manier : indomptable.
Lui veut la briser. Elle veut le haïr.
Mais leur haine se consume sous une tension sexuelle brûlante, dérapant lentement vers une obsession destructrice.
Dans ce monde de guerre, de loyautés brisées et de sang versé, leur amour n'a aucun droit d'exister... et pourtant, il est déjà trop tard.
Amaya, 23 ans, endure un quotidien qui rime avec tourments et angoisses. Issue d'une famille aisée, elle s'est toujours sentie de trop parmi cette population extravertie.
Depuis petite, elle enchaîne les fêtes, les galas de charité et les réceptions de prix de son père. Mais, elle, ne rêve que de s'évader. De s'envoler quelque part où elle se sentira en sécurité.
Alors qu'elle déménage dans une petite villa bien loin de sa ville natale, elle va se confronter au pire des dangers sans même le remarquer.
Elle aurait pu être victime d'un accident, d'une agression, ou bien d'un incendie.
Seulement, il a fallu que deux pupilles aussi sombres que les ténèbres se posent sur elle. Celles qui appartiennent à celui qui hante les cauchemars. Le mercenaire que l'on appelait par un seul et unique nom, si l'on osait le prononcer.
El carnicero.
Et maintenant qu'elle est devenue l'objet de son obsession malsaine, il ne compte plus la lâcher...
"Mon cœur est mort, le tien bat en essence au mien, mi amor"