Isadora l'a aimé comme on aime une seule fois dans sa vie.
À 17 ans, Angelo était tout pour elle : son ami, son petit-ami, son évidence.
Ils venaient du même monde, celui des familles puissantes, où l'on se marie vite... parfois trop vite.
Pendant trois ans, ils ont été inséparables, fous amoureux, persuadés que rien ne pourrait briser ce qu'ils avaient construit.
Mais aujourd'hui, quatre ans après leur mariage, il ne reste presque rien.
Juste deux corps sous le même toit, deux regards qui s'évitent, deux cœurs usés par les silences et les rancunes.
L'amour s'est effacé, laissant place à une tension constante, une douleur sourde, un vide qu'aucun mot ne comble.
Parfois, ils se blessent. Parfois, ils s'ignorent. Et parfois, sans le dire, ils se cherchent encore.
Et puis, il y a ce secret, celui qu'elle pensait avoir enterré.
Ce qu'Isadora ne sait pas, c'est qu'Angelo l'a découvert.
Et depuis, plus rien n'est pareil.
Était-ce une erreur ? Ont-ils aimé trop fort, trop vite ?
Ou est-ce simplement une histoire qui n'a pas encore dit son dernier mot ?
Un été à Positano. Des amis. Des souvenirs. Et une vérité qui ne peut plus rester dans l'ombre.
Lorsque Eléonore rejoint son frère au Brésil pour les vacances, elle ne s'attendait pas à découvrir un nouveau monde dont son frère faisait pleinement partie. En rencontrant le nouveau cercle d'amis de son frère, elle fait la rencontre de Izaï Silveira, le meilleur ami de son frère. Un garçon froid, sombre et cruellement attirant. Néanmoins ce qu'Éléonore n'imaginait pas, c'est à quel point ce garçon éveillerait en elle des sentiments troublants.
Mais les mauvais souvenirs et les angoisses d'Éléonore refont surface, menaçant de perturber son esprit et de compliquer sa relation avec son frère et ses nouveaux amis.
Entre course de voiture, soirée en bord de mer et vie de luxe, Éléonore ne s'attendait pas à tomber amoureuse. Pour le meilleur et pour le pire, quitte à avoir le cœur brisé une seconde fois.
" Dit moi tout se que tu pense, les choses les plus horribles que tu voudrais me hurler au visage. Dis-moi que tu me haï, que tu me détestes. "
" Mais laisse moi continuer à t'aimer Eléonore "