Dans le silence j'ai demandé qui m'aime. T'as failli te lever, mais tu t'es rassis ☆彡

je m'appelle Aïcha, je vous présente ma chronique tirer de fait réel, je vous raconte ma rencontre inattendue avec se garçon et tout ce qui suis de notre histoire , drame,rire, amour et pleure. <<"Bah alors Aïcha ? Aime moi si tu le peux encore?..">>

Venez découvrir ce recueil Fait de vie et de deuil Qui est le simple fruit de mon œil Et en pardonner les écueils Derrière les mots qui défilent Les recoins de mes peurs Les recoins de ma ville Les recoins de mon cœur De la simple poésie urbaine Un regard sur la condition humaine Fait de joie et de peine D'amour et de haine

☆ﾟ⁠.⁠*⁠･⁠｡ﾟBienvenue dans mon esprit.☆ﾟ⁠.⁠*⁠･⁠｡ﾟ ☆ﾟ⁠.⁠*⁠･⁠｡ﾟIci, des poèmes. Des mots, des vers, mais bien plus encore. Une partie de moi. ☆ﾟ⁠.⁠*⁠･⁠｡ﾟMon désespoir, mes peurs, mon espoir, mes leures. ☆ﾟ⁠.⁠*⁠･⁠｡ﾟ ~ Top 5/23,7k le 11/09/2025 dans la catégorie poésie. ~ Top 2/108k le 13/09/2025 dans la catégorie poésies. ~ Top 1/2,16k le 13/09/2025 dans la catégorie poesies. ~ Top 20/64,9k le 13/09/2025 dans la catégorie poème. ~ Top 688/141k le 13/09/2025 dans la catégorie tristesse. ~ Top 3/14,2k le 16/09/2025 dans la catégorie poème. ☆ﾟ⁠.⁠*⁠･⁠｡ﾟ

Encore des gribouillages de mots...!

Entre douleur et délivrance, mes mots racontent des âmes en guerre avec elles-mêmes. Des cœurs qui tombent, qui se cherchent, qui finissent toujours par retrouver la lumière. Bonne lecture

Recueil de poèmes, de textes, de mots. Parce que grandir fait peur. Parce que le temps qui passe fait peur. Parce que le monde tourne et qu'il ne s'arrête pas pour nous attendre lorsqu'on a la tête qui tourne aussi.

L'image, poulpe qui chez Apollinaire jette son encre vers les cieux, relève du domaine public. Son nom anglais octopus évoque le huit, étymologie du dixième mois, octobre. Quant à l'encre opaque du poulpe, de la pieuvre à l'œuvre, je pense que le lien avec mon sujet est transparent... l'écriture ! Ce recueil constitue ma participation au défi de l'Inktober, que j'ai francisé en "Enctobre". Il s'agira, pour chaque jour, d'écrire un texte (poétique dans mon cas) sur le thème d'un mot donné par le défi officiel de l'Inktober. La liste est publiée dès le début de septembre. Le jeu littéraire, la contrainte, l'essai et l'expérimentation seront les valeurs, je le décrète, de ce mois écrit. Je devrais, après le défi de ces trente-et-uns jours, vous faire un petit retour d'expérience et nourrir ma réflexion sur l'écriture expérimentale.

Pour souffler sur la poussière d'un Cold Case en devenir. Pour ne pas l'oublier. Lui, Personne. Disparu à Piha Beach le 7 mars 2020.

Tomber amoureux, c'est s'éclipser de soi-même pour renaître dans l'écho d'un autre. Ce vertige doux, cruel, incandescent nous guette tous, tôt ou tard. Il transforme le moindre battement en mélodie, le moindre chagrin en cathédrale. Il nous rend lumineux puis nous consume, mais toujours, il nous façonne. À travers ces chansons, je vous ouvre les pages d'un carnet que je n'ai jamais su refermer. Chaque note y porte le parfum d'un regard croisé, d'un silence trop long, d'un corps quitté au petit matin. L'amour, et toutes les conquêtes qui ont traversé ma vie comme des météores, m'ont laissé plus que des souvenirs : ils m'ont appris la patience, la perte, l'éveil... et parfois l'oubli. Composer, pour moi, c'est aimer autrement. C'est prolonger ce que je n'ai pas pu dire, ou que l'on n'a pas voulu entendre. C'est offrir, encore, un amour que je garde en moi comme un feu secret, trop intense pour être ignoré, trop pur pour être toujours pris au sérieux. Gardez cela en vous : nous méritons tous d'être aimés à hauteur de nos rêves, de grandir entourés de regards sincères, et de nous relever, encore, même après les plus beaux effondrements.