Quatre-vingts ans après sa disparition, un manuscrit relié de cuir noir est retrouvé dans un coffre oublié.
Il ne porte qu'une initiale gravée en or : D.
À l'intérieur, pas des aveux, mais une sorte de journal intime, écrit comme une œuvre littéraire. Le texte semble être l'héritage d'un homme jamais arrêté : Dante, un séducteur insaisissable, un tueur rituel.
Dans ces pages, Dante raconte ses conquêtes, ses amantes qu'il possédait avant de les effacer une à une : Rose, Abby, Jane, Ashley... Chaque meurtre est un rituel où l'acte charnel précède l'acte de mort.
Mais son récit prend un tournant avec Clara, une femme différente. Inaccessible, envoûtante, dotée d'un instinct qui surpasse le sien, elle refuse de se donner à lui, consciente que céder signerait sa fin.
Dante, pour la première fois, hésite. Il la veut, il la désire, mais il ne peut la tuer. Clara, loin d'être une victime, prend le contrôle du jeu. Elle devine ses secrets, expose ses faiblesses, et l'oblige à faire une promesse qu'il ne pourra jamais trahir :
elle sera sa maîtresse, mais jamais une morte.
Il essaiera à maintes reprises de la tuer, mais n'arrivera sans doute pas à porter le coup fatal.
Le manuscrit s'interrompt là, brutalement.
Dans le présent, le lecteur qui découvre ce texte comprend avec effroi que Dante n'écrivait pas pour ses amantes, ni même pour Clara... mais pour celui qui, des décennies plus tard, oserait tourner la dernière page.
Et la dernière ligne résonne comme une malédiction :
« Le livre s'achève, mais pas l'histoire. Car maintenant, c'est moi que Dante a choisi. »
Elle pensait son cœur à l'abri. Elle se trompait.
Le jour où son père la vend, Adassa est précipitée dans un monde où la loi n'existe pas... sauf celle du plus impitoyable.
Face à elle : Cayden.
Héritier d'un cartel, marqué par la haine et le sang, condamné à reprendre le trône lorsque la mort viendra chercher son père.
Un homme façonné par la douleur, les pertes et les cicatrices invisibles d'un passé trop sombre pour être raconté.
Un homme qui se construit, morceau par morceau, en monstre... parce que c'est la seule façon de survivre.
Après la mort de son père, Cayden devient le chef de The Demons, un cartel craint et respecté, nourri par la violence et bâti sur les ténèbres.
Dur. Froid. Impitoyable. Il règne désormais sans partage.
Il est sa prison.
Il est son danger.
Il est aussi la seule flamme capable de consumer le vide en elle.
Entre eux, la douleur se mêle au désir, jusqu'à effacer la frontière entre l'amour et la destruction.
Car aimer Cayden, c'est s'abandonner à un homme qui ne sauve pas... il dévore.
Peut-on aimer celui qui nous brise ?
Peut-on se perdre... et ne jamais vouloir se retrouver ?
Car parfois, dans un sauvetage... c'est le sauveur qui meurt.
Adassa pourra-t-elle sauver Cayden sans y laisser sa peau ?
L'amour, parfois, c'est tomber dans le vide... en croyant toucher le ciel.
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