Nul ne sait vraiment qui elle est.
Certains voient en elle une guerrière redoutable, d'autres une énigme que même la lame ne saurait percer.
Hymoïa est de celles qu'on observe à distance, fascinés et inquiets à la fois.
Ses yeux semblent avoir vu ce que nul ne devrait contempler, et son silence pèse plus lourd qu'un aveu.
Parmi les pourfendeurs, sa présence dérange autant qu'elle intrigue, telle une énigme insolvable.
Et pourtant, derrière sa froideur, il y a son fils qu'elle protège envers et contre tout, comme s'il représentait ce qui lui reste d'humain.
Mais dans un monde ravagé par la peur et la nuit, combien de temps peut-on marcher sur la ligne qui sépare la lumière de l'obscurité... sans finir par disparaître avec elle ?
~ Cette fanfiction comporte du langage grossier, des scènes violentes avec descriptions détaillées, ainsi que des scènes à caractère sexuel explicites. Vous êtes responsable de ce que vous lisez ~
~ Merci de ne pas être injurieux ou grossiers envers les personnages, les insulter revient à m'insulter moi ~
Rythme de publication : un à deux chapitres par semaine
Sur ce, après ces petits avertissements, je vous souhaite une très bonne lecture, en espérant que Dualité vous plaira !
kei kimichi se retrouve dans un drame digne d'une douleur insurmontable. Après s'être enfui de son village attaqué par nulle autre que les membres de l'Akatsuki, elle se retrouve sur le chemin de Konoha, où rencontre tous les ninjas y habitant. Une fois remise de son trauma, elle réalise qu'elle doit maintenant protéger sa lignée, ce qui sera difficile puisque c'est la dernière femme de celle-ci. Kei doit trouver quelqu'un qui sera près à changer de nom pour elle. Mais plus qu'elle s'attache à eux, plus elle se retrouvera dans dans une situation où elle devra aider ces nouveaux compagnons, et qui sait? risquer sa lignée pour eux.. que fera Kei?
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Première publication le 15 août 2014, édité en 2020.
CECI EST UNE FANFICTION ÉCRITE PAR UNE ADOLESCENTE DE 14-15 ANS. IL Y A ÉNORMÉMENT DE FAUTES, donc svp ne vous cassez pas la tête à me corriger.. il y en a tellement que j'ai abandonné mon plan de correction à 17 ans lmao. (J'ai maintenant 21 ans)
Sérieusement, si j'en vois la peine de le faire, je risque de changer quelque peu le cours de l'histoire étant donné que mes goûts se sont "raffinés"... alors :')