L'art d'aimer les mauvaises personnes laisse toujours des cicatrices

On ne naît pas brisé, on le devient à force d'aimer ceux qui ne savent pas aimer.
Dans cette chronique, je parle de ces amours qui commencent comme des promesses et finissent en leçons.
Des sourires qui mentent, des mots qui réchauffent avant de brûler, et de ces cicatrices invisibles qu'on cache derrière nos phrases.

« L'art d'aimer les mauvaises personnes s'écrit en cicatrices » n'est pas une histoire d'amour.
C'est une confession, une vérité murmurée entre les lignes - celle d'un cœur qui a trop donné, mais qui a appris à écrire avec ses blessures plutôt qu'à pleurer sur elles.

Parce qu'au fond, c'est souvent dans la douleur qu'on découvre la beauté de ce qu'on est vraiment.