La mort. C'est un bien jolie mot, un mot qui me reste sans cesse à la bouche. J'aime le sang, j'aime la mort, j'aime tuer, j'aime torturer, je prends un plaisir fous à les déchiqueter de l'intérieur, à leur sortir les entrailles sans le tuer. La souffrance, elle est la seule manière pour moi de leur montrer qu'ils sont rien comparé à moi. Le sang gicle de partout, ses hurlements ne l'aident pas, son odeur, sa respiration saccader, son souffle sur ma nuque m'excitent tant! Le dernier battement de son cœur retentit dans mes oreilles, comme le dong de la pendule en bois de chêne que ma grand-mère possédait. L'heure tourne, le vent se lève, les feuilles mortes meurtris par l'automne s'en vole dans l'air, l'odeur du sang est mélange à celle du bois humide de la forêt. Je le regarde une dernière fois et laisse son cadavre allongé sur le lit de mousse, laissant sa dépouille à mère nature, qui s'en débarrassera plus facilement que moi. Ma routine reprend son cours mais j'ai décidé de rajouter une difficulté en plus, l'intégration dans la civilisation et tuer plusieurs idiot dans la même ville. Le conteur tourne: 100 cadavres/33mois. Mon nom est Gwen, Gwendoline Upset et voici mon histoire...