L'avenue de la pensée était traversée par un innocent penseur, lors d'une nuit de mars, à l'aube du printemps. La tristesse, l'empathie, la pitié, la joie, l'incertitude, le bonheur, la mélancolie, la sérénité, s'entremêlaient dans la quartier. Les âmes des sentiments survolaient la ville. Arrivera t-il à quitter ce quartier sentimentales sans se faire submerger ? La réponse est dans son cœur tellement profond qu'on ne sais si il arrivera à l'attraper.Todos los derechos reservados