Ses mots résonne encore et encore dans ma tête. Ses mots qu'il a écrit, qu'il n'a pas pu dire. Mais la vie doit reprendre son cours. Du moins essayer. J'aurais dû savoir que tout n'allais pas bien. J'aurais dû le voir. Je me répète inlassablement ses mots. Je les entends avec sa voix. Et la mienne me dis qu'il faut punir ceux qui lui ont fait ça. Ils méritent d'être punis. Mais personne n'a rien fait. Comme si il ne comptait pas assez. Personne n'a le droit de dire qu'une personne ne compte pas assez. Car pour moi il était important.