La plupart des gens aiment la compagnie, ont des amis, de la famille sur qui se reposer. Mais quand tous le monde vous tourne le dos pour se que vous êtes, il vaut mieux avoir été habitué à la solitude. Nous caractérisons nous pour ce que nous sommes ou ce que nous faisons ? Les causes de nos actes sont-elles plus importantes que les conséquences ? La différence est-elle forcement négative ou pathologique ?