Quand les destins se jouent sans logique, quand la force de vivre ne tient à rien d'autre qu'à un souvenir, alors les mots ne suffisent plus. Chaque geste, ou bien vous perd, ou bien vous sauve. A Natzwiller, il ne s'agissait pas de savoir si l'on allait mourir ou non, mais quand et pourquoi? « Tenir, c'était « vouloir durer », tous ou presque ont voulu. Certains ont pu, d'autres pas. » G. Charlet « Karawanken »All Rights Reserved