j'me sens perdue, et confinée dans un établissement qu'j'ai envie d'gribouiller, avec mon stylo qui m'sers a m'instruire seulement moi il m'sert à dessiner, a oublié les chiffres et les lettre se baladant autour d'ma tete, autour des volontaires et des reveurs, d'une prof torturés par un métier qu'elle a jamais voulu faire, j'dessine les yeux des eleves, ou au fond d'la pupilles parfois on peu apercevoir quelque chose de brisé, une ou plusieurs fois, un regard joyeux, en guise de fond de teint pour un regard depressif.
l'école me tue, elle m'donne un avenir dont je ne voudrais jamais, elle me met dans un case ou je respecterais les règles, elle me met dans une société stupide, remplie de personnes aveugle, et trop endoctrinés par celle ci pour ce rendre compte que c'est pas ca la vie.
Sûrement un peu plus abîmée que la veille, mais ça ira tu sais.
"La tristesse vient de la solitude du coeur."
Montesquieu.
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NDA : Cette histoire n'a en aucun cas pour but de romancer/banalisé les pêchers tels que la mixité (homme/femme), la fornication, les relations hors-mariage.
En écrivant cette fiction , l'intention est de m'essayer à écrire depuis des points de vue qui diffère les uns des autres et de mettre en lumière des problèmatiques que n'importe qui peut rencontrer/avoir.