Après avoir essuyé une énième déconvenue après un plan cul qui s'est mal terminé sans avoir commencé correctement (ça va, ne me regardez pas comme ça, je ne pense pas être le seul à en faire), je me suis dit que ça pourrait être amusant de chroniquer tout ça. Parce que oui, on est dans une société où le sexe est omniprésent, on ne va pas se mentir. A peine on sort dans la rue qu'on ne peut pas faire 2 mètres sans voir un cul ou une paire de nichons placardée sur un kiosque à journaux ou dans le métro. Limite, c'est rentré dans les mœurs. La fidélité passe très souvent au placard au profit d'un petit plan vite fait (n'est-ce pas, Ashley Madison ?). Et on peut dire merci aux nouvelles technologies pour ça. Hétéros, homos, bi, même combat. Ça va de soi que cette chronique de mœurs sera purement anonyme. Non pas parce que j'ai peur de me faire juger ou quoi que ce soit, mais simplement parce que ça ne vous apportera rien de savoir qui je suis. A la limite, tout ce que vous aurez à savoir de moi pour mieux me situer, c'est que j'ai 25 ans, que je fais un boulot qui me plaît, que je suis gay et que je vis en colocation dans une maison avec un pote de longue date. En soi, je suis un mec normal, qui a juste envie d'extérioriser toute la connerie humaine vis-à-vis du sexe. En ne venez pas me dire que ça vous choque, si c'était le cas, vous ne seriez pas ici. PS : oui, chaque chronique, c'est du vécu. Ce n'est donc pas inventé. Photo : Quentin Pedarros Meilleur classement : #154 en Non-Fiction
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