Jordan, 18 ans, a tout du joli garçon, les cheveux légèrement en bataille, une mâchoire parfaitement définie, des joues creuses, un regard fatigué , atténué par de beaux yeux bleus, bleu océan, bleu tempête, bleu tristesse. Un regard méprisant et en même temps vide. Il a une cigarette à la bouche, je dirai des Winstons 100s. Il est très grand, fin, habillé d'une veste en cuir noir, pantalon simple noir, bottes militaires noires, aussi noir que son âme, j'imagine.
Le bad boy classique. Et pourtant, je vais avoir la chance de l'approcher et d'en apprendre plus sur lui.
Et je regretterai cette chance.
Jordan le magnifique, ou Jordan la boite de pandore.