02h22. La ruelle est déserte, silencieuse, seul le bruit de mes talons trahissent ma présence. Je marche rapidement en direction de la maison. Seul les lampadaires éclairent la ruelle. Et j'entend Cette voix. Cette voix qui pourrait m'effrayer mais qui me rassure. Cette voix que je connais. Mon sang ne fait qu'un tour. Je me retourne et je vois l'homme mystérieux, toujours avec sa capuche. Cet homme dont je ne connais rien, même pas le visage, le nom, l'age où même la couleur de ses yeux. Ce que je sais c'est que c'est un justicier, qu'il m'a sauvé, qu'il est toujours vêtu de sa veste à capuche et qu'il met ce parfum. Ce parfum que je reconnaîtrais entre mille.
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