« La rosée du matin parsème le lys fleuri, L'oiseau serein sème le désir du bout de ses plumes, Porté par les plaisirs enivrant d'un printemps de brumes, Qui laissera cependant quelques êtres au cœur meurtri. Si l'oiseau se plait à changer de nid, Sa solitude se confond dans le dénie. » Il a suffit d'un regard de plus, d'une étincelle plus vive pour mettre le feu aux poudres. « La nuit s'efface sous l'effluve de l'aurore, Qui se prélasse dans nos bras sans le moindre remord. Nos murmures amoureux s'égarent le long de ta peau, Nos délices s'étreignent sans se lasser de nouveaux assauts... » ©-staingurl