Jusqu'à aujourd'hui j'ai toujours mal écris,
du plus loin que je me souvienne mes mains n'étaient faites que pour le dessin, les couleurs, les pastels, les palettes, ou les fusains.
Un jour j'ai dit à un ami qui lui en voulait trop à sa propre vie,
d'imaginer comme si celle-ci était un dessin, j'ai rajouté qu'il était entrain de le construire, entrain de le tracer, de l'élargir comme il était entrain de prolonger sa vie.
Je lui est dit qu'en choisissant le crayon qu'il avait en main, son dessin allait être mauvaix, raté, epuisé... J'ai rajouté qu'il fallait éfacer son premier trait et de changer vite de crayon.
Il a tout de suite comprix que je faisais réfèrence à ses choix, des choix qui, je savais, allaient le rendre triste. j'ai preferé de lui le fait de gommer ses idées et d'en créer de nouvelles, j'ai eu peur qu'il se replante, prenne à nouveau le mauvaix crayon... ça a été le cas. Mais maintenant cet ami va bien, il a gommé ses traits, changé son crayon par une plume et il a commencé à écrire. à faire vibrer ce qui le fait vibrer.
vous voyez, moi j'aime dessiner, certains se lancent dans un art, un thème et se font vite rattraper : par moi, par d'autre, ou par eux-même, parfois,
on se rend comptes que l'on ne doit pas être bon pour aimer quelque chose, mais il faut que l'on aime ce quelque-chose pour être bon.
Je vous l'avez dit je ne suis pas douée pour écrire, en orthographe en grammaire ou en synthaxe, mais je fais l'effort pour lui, en quelque sorte.