"(...) les mitrailleuses font des boîtes crâniennes des passoires à sang, les obus parsèment les champs cabossés et les tranchées de vêtements déchirés brûlés, des membres volent et nous sommes recouverts de sang opaque noir. Il rentre dans nos yeux et notre bouche nous donnant un goût amer de ce qu'est la guerre; de ce qu'est notre quotidien."