Elle portait le prénom de celle qui avait mangé le fruit de l'arbre défendu, commis le péché originel.
"Belle par les traits qu'elle élaborait mais rien ne présageait cette anormalité que le dessin de ses lèvres formaient."
Voilà une poésie sans histoire, sans poète, sans beauté.
C'est à peine une poésie, le partage d'un être désespéré,
Un appel au secours, peut-être ?
Qui sommes-nous dans ce monde à la dérive ?
Où est la beauté dans l'asservissement ?
Est-ce le même monde qui se répète,
Avec les mêmes images, les mêmes schémas ?