Victoria, jeune femme de 26 ans est déjà à la tête de sa propre entreprise. Son magazine, Esprit, est en tête des ventes dans les kiosques et a une renommée mondiale. Dynamique, entreprenante, sûr d'elle, elle est qualifiée par ses employées de « Dragon » à cause de son caractère froid et de son tempérament de feu. Lorsqu'elle entre en concurrence avec une autre entreprise pour l'obtention d'un contrat qui pourrait faire de son magazine le n°1 en France et dans le monde, elle se heurte à Greg, rédacteur en chef chez GQ. Greg, le dernier homme sur terre avec qui elle aurait voulu avoir affaire. Narcissique, vulgaire, imbu de lui-même, il arrive à faire ressortir le pire chez Victoria, ou alors le meilleur ?
*Attention, certaines scènes, paroles, peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes*
Crystal Hundz est née dans un monde de coups retenus et de silences hurlants. Seule fille d'une fratrie de cinq enfants, elle a grandi dans l'ombre d'un père légendaire, Vladimir Hundz, figure mythique du ring, maître d'un royaume où l'on apprenait à frapper avant d'aimer.
Elle est partie sans se retourner. Dix ans de fuite, d'oubli presque réussi.
Mais son passé l'appelle.
Et avec elle, reviennent les murs, l'odeur du cuir usé, les blessures encore chaudes.
Et lui.
Finngan Laucs.
L'élève modèle. Le fils que son père aurait voulu. Celui qui brillait quand elle s'effaçait.
Il y avait de la haine au début.
Mais il y avait aussi les regards, les silences qui durent trop longtemps, les gestes qui frôlent et brûlent. Finn n'est plus ce garçon qu'elle méprisait. Il est devenu un homme taillé pour la guerre.
Il s'est allié aux Hundz, jusqu'à porter leurs couleurs dans des combats illégaux.
Jusqu'à affronter l'homme qui l'a brisée.
Celui qui l'a salie sans jamais être puni.
Jusqu'à faire couler son propre sang pour elle, dans le silence et la poussière.
Ils étaient deux enfants que tout opposait.
Deux adultes que le monde a brisés différemment.
Ils étaient ennemis.
Ils seront amants.
Du sel au sang est une romance lente et brûlante, une chute vertigineuse au cœur des cicatrices, où la haine se parle couramment, et où l'amour n'est plus qu'un instinct de survie.