Comme toutes les filles, elle se disait que le prince charmant existait...
Rosalie Molza ne s'attendait pas à devenir la risée de l'université. Elle qui voulait tant fondre dans le décor. Il faut croire que son physique lui en empêchait. Elle n'a pas ces longs cheveux soyeux qui sortent de chez Arthair's & Cie, elle n'a pas le look tendance des magazines, ni le visage parfait. Au contraire, Rosalie se sent grosse, moche et repoussante. Ce qui fait sa popularité, c'est son surnom "Rosa-Grotas", et ses larges pulls roses. Elle se persuade qu'un jour peut être "les gens ne regarderont plus à l'extérieur, mais à l'intérieur". Mais ça devient absurde, c'est presque un mythe.
Jusqu'au jour où le harcèlement est dépassé. Les coups vont plus loin, les mots sont plus durs, elle est humiliée... par son propre prince charmant.
«On ne peut pas aimer tout le monde»
Mais.
«On peut apprendre à aimer»
Elena pensait avoir touché le fond. Entre les cicatrices laissées par un père violent et l'interdiction de revoir son petit frère, elle s'est construite une carapace infranchissable. Mais tout bascule lorsqu'elle emménage en colocation avec Elyo, un joueur de hockey arrogant, aussi charismatique que dangereux.
Elyo n'est pas qu'un simple étudiant. Dans l'ombre, il dirige un empire criminel où règnent secrets, pouvoir et violence. Pour lui, Elena n'est qu'une gamine naïve, une colocataire qu'il surnomme sans cesse "la mioche". Pourtant, derrière ses provocations, il est incapable de rester indifférent face aux ombres qui hantent son regard.
Dans un univers où la douleur côtoie le désir, Elena et Elyo vont se découvrir ennemis autant qu'indispensables l'un à l'autre. Mais à mesure que leurs passés se dévoilent, leur attirance devient une arme à double tranchant.
Ils jouent avec le feu. Mais qui sera le premier à se brûler ?