L'automne est là, les feuilles voletèrent de pars est autres, et viennent s'écraser contre le sol humide. Le vent soufflait, les personnes étaient pressées, et moi je les regardais, ils se rentraient dedans, se bousculaient. Tandis que je restais là, assise sur un banc, le regard dans le vide, la musique dans les oreilles, je pensais, je pensais à tellement de choses inutiles, mais qui me paraissait si important sur l'instant. La première pensée qui me vient, fût mes poignées, je relevais mes manches à l'abri des regards. Mes yeux se posèrent sur ses marques devenu éternelle, qui m'avait tellement soulagé fût un temps. Me mutiler ne me suffisais plus, j'avais besoin de trouver un nouvel échappatoire, pour me distraire de cette envie morbide qui me poursuivait jusque dans mes rêves.