Ses doux doigts longent mon avant-bras, montent jusqu'à mon poignet puis s'arrêtent à ma main. Ils s'entrelacent entre les miens. Je les serre fort aussi fort que possible. Faute de ne pas connaître son visage, je veux me souvenir de son toucher, de son odeur qui est à présent en sueur. Il m'a sauvé la vie, je lui ai offert mon corps. Après cela, vais-je te revoir, mon valeureux chevalier?