"Je l'observais comme un rat tapis dans l'ombre, la peur me paralysait, le goût du sang envahie ma bouche je ressentais chacune des larmes qui coulait sur ma joue. C'était donc sa ce goût si amer comme celui du désespoir j'allais donc mourir seule sans personne, j'avais toujours prétendue être trop forte pour pleurer mais on dit que les personnes fortes ne versent que des larmes silencieuses pourtant au moment ou la porte s'ouvrit, je me mis a hurler..."(CC) Attrib. NonComm. ShareAlike