Juliette. Pas besoin de la regarder longtemps, elle est différente. Elle ne sourit pas, mais elle est heureuse. Elle traîne ses casseroles, son corps en dépant. Seul la noirceur la faisait se sentir en vie. Quand un corps perdu recontre l'amour, la passion et la peur il se libère et fait ressortir ce qu'il y a de plus beau ou de plus sombre. " Je me penche vers Nate. Son regard horrifié me fait sourire. Il caresse doucement ma hanche creusée. - Juliette, tu es maigre, tu es malade.. souffle t-il. - Ce n'est pas une maladie, c'est de l'art." ---- Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez.