Il voulait juste qu'elle lui prête un peu de sa lumière, pour laver la boue qu'il avait sur les mains.
C'est dans le noir qu'on voit le mieux la lumière. C'est dans la peur, l'agitation, le froid, que les vrais natures se révèlent. C'est dans les pires moments qu'émergent les plus beaux instincts.
Dans cette saleté, cette horreur, il y avait Lou. Si on devait accorder une couleur à Lou, ce serait le blanc, ou un rose très doux, quelque chose qui caresse les yeux. Pour lui, c'était noir, car on ne voyait rien d'autre que sa peau. Et pour leur amour, rouge, comme la passion et les choses qui font mal. Il y a beaucoup de couleurs pour décrire cette histoire.
Et peut-être qu'en lisant la suite, vous réussirez à comprendre que les couleurs ne disent pas toujours tout.
Katia, une jeune fille calme en apparence mais très têtue, est forcée de rentrer dans son pays natal après que son père a découvert quelque chose de troublant à son sujet.
De retour chez elle, elle ne s'attendait pas à trouver l'amour avec Bassim Sall, qui est en réalité l'oncle de ses amies d'enfance.
Katia tombe éperdument amoureuse de Bassim, mais elle a aussi peur de compromettre sa relation amicale avec ses copines. Leur relation mouvementée se complique encore plus avec les problèmes entre Katia et ses amies, qui sont également les nièces de Bassim.
•|• Œuvre de Mai 2020 - Réécrite en Décembre 2023
Ceci est une ancienne chronique réécrite