𝓡𝓪𝓷𝓭

ألوَقَت: 
                      ٨:٢٧مَ 
          ألسَبت ١٥ 
                         تَشَرين ألثَانَي

Ô toi qui habites mon cœur sans que je le veuille, et qui y es devenue une pulsation qui ne s'éteint jamais. Comment pourrais-je t'échapper, toi qui es mon sang même, et à mes yeux, l'amour merveilleux ? Je marche, et ton ombre plane sur mes pas, flirtant avec les étoiles et la nuit qui s'avance. Et quand je me souviens de toi, les lettres pleurent, et le chagrin s'installe dans mon cœur troublé. S'ils m'interrogent sur ton 

Et si tu me déçois ? Cette fois, je te retiendrai, et si je te retiens, tu devras te préparer à affronter les obstacles, non pas un, mais deux ponts ! Un pour que je puisse marcher et l'autre pour mon imagination. 

Laisse-moi te contempler, que me reste-t-il d'autre que tes yeux !