Des jours, des semaines, des mois que Jaehyun avait trouvé vide-couilles Taeyong comme nouvelle activité.
Vulgaire non ?
Taeyong lui, se contentait de taire ses sentiments déjà beaucoup trop puissants et de simplement profiter de l'instant présent.Puis arriva le soir de trop,
***
Je n'ai pas mon journal, j'aurais aimé écrire là maintenant mes ressentis. Je suis entrain d'attendre Jaehyun proche du parc où nous avons l'habitude de nous retrouver mais, le coeur l'a emporté sur la raison.
Et me voilà maintenant au bord des larmes, semblable à un vase rempli où le moindre flux pourrait faire tout débordé.
J'ai envie d'hurler aux pages de mon cahier ce que mon coeur hurle à mon cerveau.
Mais,
Il est trop tard
Car Jaehyun est là.
Me fixant l'air confus
« Taeyong qu'est-ce qu'il se passe ? »
Il se passe que je souffre Jaehyun
Beaucoup trop
« Taeyong ?! »
Mes oreilles grésillent sous tes cris
« Taeyong merde ! »
Arrête tes appels Jaehyun, j'en souffre
« DIS MOI POURQUOI TU PLEURES ! »
Je repousse ses mains qui s'étaient posées contre les miennes
« Pourquoi je pleure ? POURQUOI JE PLEURE ? »
Je suis essoufflé, à court de souffle
Bouffé par les sentiments de cet amour à sens unique
« Car je suis détruit par les sentiments de cet amour à sens unique bordel ! Des mois, des semaines, des jours que je t'aime et que je souffre et ce depuis le début Jaehyun !
- T-taeyong
un pas en arrière
- Est-ce tu entends ce silence Jaehyun ?
-...
puis un second
- Est-ce tu vois cette obscurité ?!
- Taeyong éloigne toi du bord de la falaise
- Est-ce que tu peux réparer ce qui est brisé ?!
- Taeyong arrête de reculer !
encore un autre
- E-est-ce-que tu peux sentir mon coeur Jaehyun ?
Ma voix s'est brisée et des larmes coulent sur ses joues rougies
- Taeyong recule »
et
un dernier pas
la dernière chose que j'ai pu voir était le visage de Jaehyun m'embrassant tendrement avant de hurter violemment le sol sous les pleurs nocturnes de Séoul.
fin
VOUS LISEZ
grésillement [jaeyong]
FanfictionCar il avait eu le coup de foudre pour cet inconnu Mais son existence avait l'air de peu l'importuner Alors il écrivait sur du papier afin de se rappeler les douleurs que la foudre infligeait