sébastien

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Mais qu'il était bête Sébastien a rapporté au père d'Ariel ce qu'elle faisait.

Elle se masturbait sous les feux d'artifices du ciel, en pensant à cette queue que tout le monde convoitait. Les caresses de ses mains allaient de son cou à ses coquillages, l'entraînant dans une danse ardente de désir et de jouissance. Et le mouvement répété entraînait des flots de déferlantes, allant d'elle à la plage aux sables brûlants.

Mais qu'il était bête Sébastien à croire que seuls les humains avaient de telles envies. Mais il y avait tellement de vague...

 Mais il y avait tellement de vague

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La queue d'EricOù les histoires vivent. Découvrez maintenant