Quelques années plus tard je rentrais dans la cour des plus grands, pensant que ceci allais être mieux, et bien évidement je me trompait en beauté. Ce fût pire que je ne l'aurai pu imaginer, entre les fille qui me prenais pour une fille que n'était pas et les garçons qui regardaient en ce moquant je ne pouvais pas faire pire. En 6ème ce fût le pire de ma guerre qui commença, disons que entre 39-45 et 14-18 c'était plus 14-18. Un groupe de fille ce mis à me harcelée, tout les jours je vivais le même calvaire, entre le crêpage de chignon et ma présence d'esprit de me taire à chaque pic que l'on me lançais je faisait mes choix moi-même (de toute les maniere toujours voué qu'à moi-même), j'ai commencer à le qualifier de harcèlement lorsque je commençais à me faire "toucher", des coup de règles dans le dos en classe mon valu le fait de partir de la salle, ma prof d'espagnol ce demandant que pouvait-il bien ce passer, elle sorti alors de cette dernière et me vis en pleur à l'entrer. Je ne pouvais pas résister contre mes sentiments à l'époque, je ne savais pas ce qu'était être hyoeremotive et je ne savais même pas que je l'était. Je lui déballa tout ce que j'avais endurer jusque la et le fait que plus serai trop, c'est alors que la magnifique institution française me rabaissa plus bas que sous terre. Cette prof me reconfortat et me mis à une autre place dans la salle, par sureté. Ce qui arriva après fût pire que tout, je ne fût en aucun cas aider par cette magnifique (ton ironique) institution qui visait à laisser les élèves ce battrent entre eux et à faire leur rivalité s'il le faut.
Entre tout ça, je me suis retrouvée dans un petit groupe au départ grand à mon départ. Il y avais la tout les rejeter de la cour de récrée, ceux que les gens craignaient par dessus tout d'approcher était les sgepa, à contrario j'avais décidé de m'en rapprocher. Je ne voit pas pourquoi des êtres humains dotés de poumons, de cœur et de cerveaux serai rejeter à cause de leur physiques ou de leur capacité psychique. Puis dans ce petit groupe, j'étais peut à peut la plus grande et lorsque que ce fût moi la plus grande (donc la plus respecter) je décidais d'agrandir ce petit groupe. Je commençais à observer les gens de la cour et voir leur histoire, s'ils allais être résolus ou non. Et le groupe s'agrandit avec de nouveau rejeter à tel point que l'on était passer de groupe à gang étant donner le nombre de personne présentes à l'intérieur. J'ai vécu 4 autre année de ma vie avec fe petit groupe ou tout allais bien et ou lorsque j'étais en classe,j'ignorais toute les pics qui m'était destinée. En 5ème, ce fût le début des petit ami mon premier flirt (si je puis dire) fût un garçon qui volait de fille en fille et qui hélas allais me ramener en première d'énormes problèmes que je raconterai succinctement (je garde la vie privée de mes "amis" priver même lorsque je ne leur parle plus) Puis plus rien jusque ma seconde ou les choses allais ce gâter à cause d'un autre garçon qui allais mettre à mal ma situation scolaire.
Lorsque je fût dans mes année collèges, les jours me semblaient banale puisque lorsque je rentrait j'allais chez ma grand-mère et ensuite préparais mes affaires pour aller cher ma mère et son mari le soir même.
Et la, lorsque je rentrai dans cette chambre vide aux mur désolant puisqu'il était d'un blanc pâle avec quelque dessin difforme serpentant le long du mur. C'est la que pour plonguer dans ma peine la plus profonde, je me plongeait dans le seul monde qui était asser grand et Asser accueillant pour être visité, à savoir, les livres. Je les dévorait à vitesse grand V. Lorsque je ramenait ce que les autres aimais à appeller des dictionnaire au collège ce fût tout un engouement pour la lectrice que j'étais et non pas pour la fille que j'étais, ce fût la une grande marge.
Ce fût alors le temps, à peine au moment de faire ouf, des etude supérieure et du baccalauréat que l'on allais choisir. J'avais en début d'année fait un stage dans un salon d'esthétisme, ce qui m'avais plus puisque je voulait faire ce métier au début. Puis j'ai découvert que l'ont pouvaient faire ce que l'on appelait un "pass pro", nous permettant d'aller dans une école professionnel mais de métiers spécial. Je choisi sur la feuille "Bac pro métier de la mode-vêtement"
Il fallais alors rédiger une lettre de motivation pour un entretien individuel avec la proviseure adjointe ce que je fit. Quel ne fût pas ma joie lorsque je vît que le lycée en question m'acceptais dans leur rangs. Je suppris au premier abord mon professeur de technologie qui était aussi mon professeur principal de 3ème, je me souvien encore de ca phrase à mourir de rire "bon écoute c'est bien ce que tu fait, mais arrête de me faire tourner en bourrique, il y a un mois tu le disait que tu allais en esthétique cosmétique parfumerie et la tu me sort tout frai que ta réussis ton entretien et que tu va dans un lycée mode, de ma carrière entière je n'ai jamais vu ca". Ma fin d'année ce passa un peut plus normalement, je ne fit aucun effort en ne révisant rien pour mes contrôles et mes épreuves me vantant de mes capacités de mémoire photographique et de mémoire auditif lorsque les autres me demandaient comment j'avais réussis à me souvenir de tout. Je fût accueillit dans le brevet scolaire avec une mention assez bien (comme si qu'il fallus donner une mention en plus pour les élèves qui l'ont réussi). Ce fût désormais pour moi par la suite l'entrée dans l'enfer de la cour des plus grands à savoir le lycée. Entre jalousie et rivalité tout était bon pour ce dézinguer. Mais ça c'est une autre histoire.
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la fille aux livres
Non-Fictionune adolescente dans un lycée de fille (ou presque) cherche désespérément à être heureuse. Entre drames,passion et surprise ca vie risque d'être mouvementée suivre son histoire à travers le personnage de Diana et vibrer si vous êtes cap.