Salam, bonne lecture à tous !
Omniscient
Mariam décide de réserver un vol dés ce soir. Emir lui était impatient de voir Mariam, cette femme super audacieuse qui au lieu de fuir a décider d'affronter ses problèmes. Zeynab était hyper contente car ses plans marchaient à merveille.
Le lendemain, 22h45
Le vol de Mariam vient d'atterrir sur le sol arabe. Même si elle flippait ou au fond d'elle, cette fois ci elle est décidée : c'est bel et bien la fin de tout ce cirque.
Dès sa sortie de l'aéroport elle reçu un appel qui lui indique avec précision ce qu'elle doit faire. Elle arrêta un taxi lui indiquant l'adresse qu'on lui a dicté plutôt.
Mariam
A l'approche de ce lieu, mon coeur rata un battement. Je ne sais pas vraiment dans quoi je m'embarque mais actuellement la seule chose dont je suis sûre c'est que toute cette mascarade prendra fin, quitte à y laisser ma vie.
La voix du chauffeur me sorti de mes pensées m'indiquant que je suis au point de rendez-vous et que désormais y'aura plus de marche arrière. Je souffle un bon coup et sortie du taxi la tête plus haute que jamais.Khais qui tombait de fatigue a finit par s'assoupir dans mes bras.
J'aime ce petit bout d'ange d'un amour incommensurable. Quand j'ai vu son père pour la première fois, j'avais ressenti quelque chose d'indescriptible, quelque chose que je n'avais jamais ressenti auparavant. Lorsqu'il m'a demandé en mariage j'ai accepté tout en sachant parfaitement que ça ne sera pas facile. Le seul hic est que je pensais que Yusuf sera toujours à mes côtés et que nous nous battrons comme des alliés dignes contre nos ennemis. Mais, je me suis trompé lourdement. Désormais les seuls qui me font tenir et ne pas regretter mon choix sont mère Aicha qui m'aime et me soutient comme une seconde maman et ce petit bout d'ange qui est une part de moi et de Yusuf.Des bruits de pas me sortent de mes pensées et lorsque je me retourne je vis deux hommes habillé en noir se diriger vers moi.
H 1- vous êtes ?
M - Mariam
H2 - suivez-nous !
Je les suivis sans bipper. Après avoir marché une bonne dizaine de minutes, il s'arrêtèrent devant une sorte de maison abandonné. Ils regardent à gauche puis à droite pour être sûr de ne pas être suivis et l'un d'eux toqua a trois reprise à la porte. Elle s'ouvrit sur un autre gars habillé de la même sorte qui les regarda en hochant la tête et me fis entré. Il donnèrent mes bagages à ce dernier avant de repartir tout en renfermant la porte derrière eux.
À ce moment précis, je ressentis de la panique mais je refoulais ce sentiment aussi vite qu'il soit apparu et je marchais désormais la tête haute.
Nous marchons dans un couloir sombre et étroit jusqu'au fond où se trouvait une autre porte. Il toqua encore trois fois à la porte qui s'ouvrit cette fois-ci sur un homme totalement différent des autres. Ce dernier me fit rentrer sans pour autant me quitter de son regard marron perçant. C'était un grand homme, vêtu d'un qamis avec un joli barbe de trois jours. Sincèrement c'était un bel homme et vu sa carrure je serais point choqué qu'on me dise que c'est un émir. Je refusais de baisser le regard face à cet homme cachant tout mon intimidation. Il finit par me devisageait tout en me demandant de le suivre et ce que je vis au font de ce trou à rat me figeat instantanément.
M - m.. mère Aïcha ?
Elle était là avec un regard abattu, je n'en revenais pas, j'en avais limite les larmes aux yeux. Je courus vers elle en asseyant de la détacher en vain. Je me retournais vers l'homme de tout à l'heure avec une haine profonde.
VOUS LISEZ
Mariam : une lionne ne se laisse pas abattre
General Fictiontome II de «chronique de Mariam histoire d'une combattante Africaine».