Chapitre 24

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Caressant le creux de ses hanches, Andreï la fit frissonner de plaisir, dix minutes plus tôt l’homme lui avait fait longuement l’amour la faisant gémir à quelque reprise avant de la rendre  muette de plaisir la rendant haltante tendit qu’il grognait près de son oreille de la manière la plus sexy qui soit la rendant fébrile avant qu’ils ne jouissent tout les deux.

Elle c’était mise a pleurer tellement le bonheur était proche du paroxysme, elle savait que quelque chose lui manquait sans savoir exactement quoi. Cela la frustrant.

Embrassant le sommet de son épaule, Andreï survola son ventre, puis glissa ses doigts le long du creux de sa poitrine avant de venir entouré son cou puis sa mâchoire, la tournant vers lui. Le regard de glace de son Mafieux eu le dont de la faire fondre autant que le baiser qu’il entamait quelques secondes après, caressant sa langue de la sienne avec une douceur infime.

Elle l’observa alors se lever, enfilant un bas avant de lui tendre la main qu’elle prit. Quelques secondes plus tard, la voilà dans le salon assise sur le canapé observant son regard hésitant avant que son regard ne devienne résigné.

Soupirant, il s’assit à ses côtés plongeant son regard dans le sien.
Caressant sa joue, Andreï la fixait tristement avant de débuter son récit horrible, il avait comprit qu’il était temps, temps pour qu’il laisse enfin ces chaînes qui le reliait a son passé se défaire de son cœur détruit, le remplaçant par les caresses remplient d’amour de Mélissa le guérissant peu à peu.

- Je suis née dans une petite ville de Russie lors d’une tempête extrêmement violente. Ma mère, Natasha Rekossovski et mon père Pavel Rekossovski étaient un couple très amoureux à l’époque. Lors de ma naissance, mon père était l’homme le plus heureux du monde, bien-sûr leurs premiers enfants Alexandre mon grand frère était déjà parfait mais leurs rêve d’avoir deux garçon avait été réalisé. Parfois je me dit que si un de nous avait été une fille… peut-être que....Enfin bon…

Passant une main devant ses yeux, Andreï exalta non sans trembler légèrement. Mélissa avait devant elle, le vrai Andreï et bien qu’elle l’ai longuement espérer elle avait peur de la suite.

- Mon père a été un père fantastique, toujours présent pour nous, souriant pareil pour notre mère enfin du moins jusqu’à que mon père apprenne que Natasha l’avait tromper et que sn premier enfant n’était pas le sien. Mon père a dû perdre les pédales car ce jour là même si a moment la bien que je ne le sache pas encore, il a tout briser dans la maison. Âgé de cinq ans je ne me doutais de rien… Et puis quand … Une semaine plus tard tout a dérapé, mon père a commencé a violé mon frère. Tu aurais apprécié Alexandre tu sais ? Il était un garçon souriant, et il rayonnait de bonté, il avait toujours un mots pour vous faire sourire… ( Il souris doucement à ce souvenir avant que son regard ne sombre totalement.)

- Mon dieu… Souffla t-elle horrifiée.

Violé durant toute son enfance, cet homme pensai que c’était normal jusqu’à que son ami de l’époque lui explique le contraire… Le bien, le mal, il n’en avait plus conscience…

Assis à une table dans le self de la prison, Andreï observait Kélio parler avec Damas. Il ne l’aimait pas du tout, cet adolescent blond avait une tête d’imbécile et il ne c’était pas gênée pour le lui dire.

Rien a faire de toute façon il partait dans deux ans. Aujourd’hui les deux acolytes partait et il se retrouverait seul mais il s’en fichait car tout les gens de la prison était terroriser par lui, cela faisait trois ans qu’il était ici et il avait créé une véritable hiérarchie dont il était le maître suprême. Kélio l’avait d’ailleurs féliciter, considérant celui-ci comme un grand frère de cœur  Andreï avait sentit son cœur se gonfler de fierté. Il voulait que Kélio soit fière de lui, il savait que c’était malsain car il faisait ça pour ne pas accepter la mort de son grand frère mais il n’était pas près à faire son deuil… Non pas maintenant.

Alors le voilà surnommé par le journaliste « roi sanguinaire de Russie » et il était plus que fière de ce titre. Âgé de dix huit ans maintenant il avait pris de la masse musculaire a force de faire du sport, dans la prison il n’y avait rien d’autre chose a faire donc il e profitait.

- Red ? Appela Damas.

Soufflant, il se leva et vint près d’eux d’un pas traînant.

- Hum ?

- Nous allons partir mais je te promets de revenir vers toi dès que tu sortiras ! Souria Kélio.

Fixant celui-ci émerveillé par son charisme, Andreï acquiesça comme un robot avant de jeté un regard noir a Damas.

- Je veux pas que ce polnyy vienne !
Riant doucement Kélio lui offrit cette faveur en caressant doucement ses cheveux d’un air apaisant. Profitant de se contacte, Andreï savoura le regard exaspéré de Damas.

Deux ans plus tard.
Sortant habiller d’un tee-shirt noire, Andreï trouva qu’il lui allait bien. Âgée de Vingt ans il était un vrai homme a présent et il pouvait l’affirmer sans que personne ne dise rien.

Un sifflement le fit tourner la tête et il vit Kélio appuyer contre une voiture, une jaguar assez vieille mais magnifique, la carrosserie rouge contrastait beaucoup avec l’homme appuyer dessus. Habiller d’un tee-shirt blanc et d’une paire de jeans bleu, il était canon a en mourir.
Marchant d’un pas lent, Andreï le fixait sans ciller avant de sourire, quand l’homme lui lança les clefs de la voiture.

- Rassure moi tu sais conduire ? Ria Kélio quand il le rejoignit côté passager.

Riant a son tour, Andreï secoua la tête de manière négatif.

- J’avais quinze ans quand je suis arrivé en prison Kélio, donc non alors soit on ne connait pas la même prison soit tu étais bien droguer quand on y était.

Riant, Kélio lui avait simplement expliquer comment les vitesses manuelle marchait et avait remit ses lunettes, complètement confiant. Heureux qu’il lui fasse toujours aussi confiance avait donner de la motivation pour la suite. Il avait alors démarrer en faisant comme ci c’était une course et avait mit son pied a plat sur le plancher.

Riant doucement Kélio avait montrera route. Quittant la ville, poursuivit par des voitures de police qu’il sema sans difficulté à son plus grand étonnement, il se retrouva dans aéroport privé. S’arrêtant, il l'avait suivit jusqu’à l’avion curieux.

- Ça c’est le billet pour notre nouvelle vie mon ami… Mes parents ont hâte de te rencontrer ! Oh et j’ai oublier il y a quelques années de te dire quelque chose car je pensais que tu étais au courant…

Fronçant les sourcils il avait pencher la tête sur le côté.

- Je me nomme Kélio Rolz comme tu le sais, mais ce que tu ne sais pas c’est que je suis fils d’un trafiquants de drogue. Un Mafieux Andreï.

Riant doucement quand il écarquilla des yeux, Kélio passa une main dans ses cheveux le décoiffant.  Souriant à son tour Andreï se sentit enfin en sécurité.

- Ils ont hâte ? Demanda t-il.

- Oh oui, ils savent ce que tu as fais et pourquoi et ils aimeraient te montrer … Te montrer ce que sont de véritables parents.

- De véritables parents… Avait il souffler quand plusieurs heure plus tard il avait vue ce petit couple qui le regardaient avec bienveillance.

Andreï avait alors comprit que ces personnes étaient ce que devait être les véritables parents.

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Poupée Russe [Tome 2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant