Wolf in sheep clothing ( Haikyuu)

Chapitre 8 : « Mon esprit »

⚠️Harcèlement⚠️pensée noir⚠️mutilation⚠️insultes⚠️

Mes yeux se baladait sur ma ville encore illuminée par le soleil de la journée.
Les gens qui repartait travaillé après leur pose déjeuner paraissait morose.
Mais toujours moins que moi.
J'avais du mal à marcher , je zigzaguais mes jambes tremblante et tenant très mal sur moi même. Mon corps pesait lourd.... si lourd...
Je me trainais... devant moi ma...- mes ? Maisons. Je rêvais n'est ce pas ?
*BOUM*
Mes mains s'était raccroché de justesse sur le muret juste devant .
Mes genoux avaient cogné fortement le sol malgré ça.
Ma respiration se fut de plus en plus haletante comme de plus en plus souvent en ce moment.
Je réussies à reprendre le dessus sur moi même , attrapa mes clés ouvris la porte de notre maison et me précipita dans ma chambre.

Toru n'était pas encore rentré.
Forcément. Il avait cours.
Je me demandais comment il allait le prendre quand le lycée l'appellerai pour prévenir que j'ai manqué des cours.
Et puis surtout. Comment allais-je cacher ma situation ?
Mes seules solution c'était sois d'appeler Iwa mais inventer une excuse et lui demandais de me couvrir , sois .... de retourner en cours...
A cette idée mes larmes coulèrent de plus belles.
J'essuyais une fois de plus ma joue rouge irritée. Je m'en voulais. J'etait bizarre c'était normale qu'on me fuie.
Je me laissa tomber sur mon matelas. Il me paraissait tellement dure... et malgré moi la fatigue pris le dessus.

Le lendemain 4h30

J'avais si mal dormis. Mes yeux pleins de larmes encores me piquaient....Je savais que pour ne pas inquiéter mon frère je devais retournée au Lycée, je détestais cette idée. L'image de mon bureau encore de mon esprits accompagnait les phrases que j'avais entendue toute la journée de hier.
Je me relevas , pris un jeans, un pull et un col-roulé. J'attrapais mon uniforme que je n'enfila pas mais glissas dans mon sac. J'écris sur un post-it un mot à l'intention des deux autres hôtes de la maison.
«  Je suis partie faire un tour dehors avant le commencement les cours. A ce soir. »
En quelques semaines seulement ils avaient réussis à me faire haïr le Lycée. Le pire c'est que je ne savais même pas ce que j'avais fait.

Je marchais sans but dans les rues encore plongés dans le noir. Habituellement j'aurais eu peur, mais là plus rien ne m'importais.
Seule avec mon esprit ou de mauvaises pensée se baladaient. Quand une se démarque des autres. Je m'assis sur un banc , commença à chercher ce qu'il me fallait pour exécuter mon idée.

⚠️Mutilation⚠️

La lame tremblait au dessus de mon bras... doucement se dirigeant vers mon poignet. Je n'arrivais pas à me rendre compte de ce que je faisais. Au départ la danse de cette lame sur ma peau me brûlait, deux , trois larmes coulèrent sur mes joues. Au bout d'une trentaine d'entaille je ne ressentait plus rien. J'avais plus mal intérieurement qu'extérieurement. Je me détestais d'être lache à ce point, mais pour me soulager je ne voyais que cette solution. Pathétique.
Le sang coulait à petit flots.mon avant bras devint rouge et gonflé. Je n'avais pas mal.pas mal physiquement.⚠️fin mutilation⚠️

Au loin vers l'horizon le soleil se levait. Moi qui d'habitude aurait pris trente milles photos à ce moment là, cette fois cela ne m'effleura même pas l'esprit. Concentré sur mon malheur et ne voyant pas les minuscules choses de bonheur.
Une silhouette se dessina en face de moi. Je ne pouvais pas voir son visage à cause de mes yeux pleins de larmes. Et pourtant je me sentais en sécurité, j'aurais fuis il y a de ça quelques jours. Mais la non , comme si cette personne dégageait une aura agréable et rassurante. , elle s'approcha de moi , s'asseyant à mes côtés. Je restais assise sur ce banc. Elle m'attrapa la mains et je laissais cette personne faire. Sentant depuis longtemps la chaleur d'un Humain. On se mit à pleurer ensemble , sans savoir l'identité de l'autre. Quand la lumière nous permis de voir nos visage nous décidâmes de nous quitter. Nous ne voulions pas casser le mystère de ce magnifique moments. Nous nous tournâmes les dos sans échanger de paroles , comme depuis le début. Je pris le chemin de mon lycée sans conviction, sans espoir , sans amis. J'attendais que le portaille s'ouvre quand soudain on m'attrapa mon bras gauche.
Je me retournais , et je vis...

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Désolée pour l'inactivité je galère un peu à écrire et je perds un peu ma motivation :/ mais je trouve ce chapitre vraiment beau et triste à la fois en espérant qu'il vous ai plus

...A suivre...