2ème CHAPITRE

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Je rentre dans sa chambre et ce que je vois me laisse sans voix, mes larmes coulent directement, ils n'ont même pas encore senti ma présence, je fais tomber mon sac et ils sur sautent, il se retourne et on se regarde dans les yeux mais je ne vois aucun regret à travers celle ci, il ouvre sa bouche et je m'attend à ce qu'il me dit que c'était juste une erreur mais au lieu de ça il m'achève complètement

Lui : bon je n'ai plus rien à dire alors, considère que c'est fini entre nous

Moi : "bégayant" c'est c'est moi Aminata

Il se lève et porte un short

Il vient vers moi et se place devant moi pendant ce temps la fille est toujours sur le lit couvert d'un drap.

Lui : écoute Amy je ne voulais pas que tu tombes sur ça. Je t'aime bien mais je suis un homme et j'ai des besoins que tu ne veux pas m'offrir, et encore tout ce qui t'intéresse toi c'est le mariage

Moi : "essuyant mes larmes" tu ne m'aimes pas, quand on aime on ne trompe pas, t'es juste un vrai connard qui ne s'assume pas

Il essaye de me toucher, mais je le repousse.

Lui : non c'est pas vrai, je t'aime mais c'est toi qui ne m'aimes pas, quand on aime, on est prêt à tout sacrifier.

Je le regarde débité tout ces conneries et je me demande comment j'ai pu avoir une relation avec un débile du genre.

Je suis déçu de moi, le fait qu'il m'a trompé à donné un sacré coup à ma fierté et tout ce qu'il raconte m'énerve encore plus.

Alors sous l'effet de la colère je lui ai donné un coup au torse.

Et comme c'est un connard il a voulu répliqué, alors je lui donne un gros coup dans ses bijoux de famille de merde, ce qui le fait se replier sur lui même.

Sa pair de connasse, voyant ce qui se passe, se lève pour prendre la défense de son homme.

Je l'attrape alors par les cheveux et la balance dans la salle de bain puis bloque la porte.

Elle : "en cognant la porte" ouvre moi la porte garce.

Je ne lui répond pas et récupère mon sac pour partir avec ma fierté à terre.

Lui : "toujours courbé" t'es une vraie connasse Amy, je ne te savais pas ainsi. Et tu n'es pas si conne que ça, je ne t'aime pas, je voulais juste te mettre dans mon lit mais même ça tu es incapable de le faire, tu es trop rigide.

Ces mots me font trop mal. J'ai cru en lui, je l'ai aimé et je lui ai fais confiance.

Il continue ses dits.

Je prend sur moi et sors de chez lui
avec ce qui me reste de dignité.

Arrivé au dehors mes larmes commencent à couler à flot.

Ça fait mal de se faire trompé quand on y a cru.

Et tout ces mots qu'il m'a dit, ma féminité en a pris un coup, je me sens d'un coup inutile en tant que femme.

Je rentre dans ma voiture les larmes brouillant ma vue.

Je me sens conne




Flash back



Ma soeur : reparle moi ainsi je te casse ta gueule, petite conne, tu verras le jour qu'il va te le mettre à l'envers vient pas pleurer ici



Juste une nuitOù les histoires vivent. Découvrez maintenant