le soleil tombait
et nous offrait une nuit sensuelle
nos jambes étaient un bouquet de roses
dont les pétales s'égaraient
ta passion était mortelle
je ne voulais plus te donner ma prosece soir de printemps
presque d'été
le temps à fuser
et nos corps se sont mis à trembler
le plaisir coulait
si seulement il venait du désirj'ai déchiré tes roses
parce que je les trouve si laides
il fallait qu'elles crèvent
je ne voulais pas de toi et de tes rêves
et encore moins de tes lèvreset alors que je simulais l'amour je me suis promis de découvrir ton corps lorsqu'il serait mort
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couleurs chaudes
Short Storyj'aurai baisé ton amour 1/2 | février deux mille vingt et un |