Et je me sent tellement délaissé, lorsqu'en ces soirs je les vois mentir, à dire qu'ils ne font que souffrir
Mais qu'ont-ils connu, si ce ne sont les larmes de la bêtise, d'une naïveté qui m'attise
Alors je les observe, du bas de mon canapé dans un coin de la soirée, je les écoute, le coeur en flamme face à leurs prononcés
Vous êtes faux, à penser maîtriser le savoir sans même l'avoir, et je suis là, à devoir vous supporter avec espoir
Celui d'un jour ne plus vous parler, d'un amour pouvoir vous oublier
Avouez le, vos cœurs n'en ont que faire de ceux que vous appelez amis, votre bonheur n'est que la galère de ceux qui ont donné leur vie
Alors forcément je m'éloigne, alors les sentiments s'éteignent, car vos dires brisent ma passion et vos sourires n'évoquent que des frissons
Car en ces nuits vous êtes l'image des mes cauchemars, vous êtes la raison des mes insomnies si tard