Jean Kirstein x Mikasa ackerman
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Son manteau atterrit sur le sol avec un peu de bruit. Elle est déjà à genoux sur son lit, les mains sur ses draps alors que Jean saisit l'ourlet de sa jupe et la jette sur le sol , Mikasa le regarde par-dessus son épaule. Il tâtonne son pantalon, les sourcils froncés dans une telle concentration, comme s'il ne l'avait jamais enlevé auparavant.Un rire silencieux attire à nouveau son attention sur elle. Le bouton de chemise s'ouvre lorsque leurs yeux se rencontrent. Son expression s'adoucit et il bouge alors qu'il recouvre son corps encore coller du sien. «Tu m'as manqué», dit-il,et avant qu'elle ne puisse lui rappeler à nouveau qu'ils ne sont pas séparés, il l'embrasse fort: une bouchée fermée de lèvres. Elle penche la tête sur le côté pour enfoncer ses dents dans sa lèvre inférieure. Ses hanches tremblent contre son dos et il écarte ses lèvres pour gémir. Il semble toujours oublier comment s'embrasser quand ils ne l'ont pas fait depuis quelque temps, même s'ils les partageaient depuis des années. Sa langue dans sa bouche est tout ce dont il a besoin pour lui rappeler ce qu'il sait déjà.
Il équilibre son poids sur une main alors que sa poitrine appuie sur son dos, se déplaçant pour pouvoir la caresser à travers ses sous-vêtements. Il ne l'a pas touchée depuis si longtemps qu'un choc a coulé le long de sa colonne vertébrale quand il met le tissu sur le côté et presse un doigt en elle. Elle est déjà mouillée par l'anticipation, se balançant en lui quand il glisse le doigt vers le bas pour frotter son clitoris. Elle rompt le baiser, haletante.
«Dépêchez-toi», dit Mikasa, même s'il y a peu d'urgence.Eren ne serait pas de retour avant un moment: Historia pourrait le tenir occupé toute la journée. Pourtant, ils n'avaient pas eu la chance d'être proches comme ça depuis des mois, et oui, il lui manquait aussi.
Jean grogne en réponse, et son contact disparaît. Elle cale ses hanches, essayant de le suivre instinctivement, mais c'est parti. Il s'éloigne de nouveau et elle peut l'entendre tirer sur son pantalon. Elle pourrait proposer de l'aider mais ne pense pas qu'elle a le courage de se pousser davantage. Elle est fatiguée. Elle le veut maintenant, donc elle peut détourner ce sentiment pour le moment. Elle a l'énergie de passer ses cheveux sur une épaule, lui découvrant la nuque. Elle tâtonne les boutons de sa chemise quand il se presse contre elle, dur et chaud entre ses jambes.
Elle a suffisamment de boutons pour qu'un seul s'ouvre . Ses dents s'enfoncent dans son épaule alors qu'il met sa culotte sur le côté, s'aligne et s'enfonce en elle. Elle laisse tomber sa main sur les couvertures, haletant à la morsure et la sensation de lui en elle.
Il agrippe ses hanches, enfonce ses doigts dans le tissu ample de sa jupe, se retire et pousse. La pièce se remplit du sons de ses halètements et du claquement de leur peau. Le sang coule dans le long de son épaule. Elle est rassurée, que sa chemise soit à l'écart. Les taches de sang ne sont pas toujours faciles à expliquer.
Il ne dure pas ça fait si longtemps et il lape sur la blessure de son épaule alors qu'il palpite en elle. Elle soupire quand il s'affaisse contre elle: un bruit de contentement et non de frustration, car elle est fatiguée et ça peut attendre.
Jean n'a jamais été vraiment doux,dans tous les sens du terme, mais il se retire, tire sa culotte jusqu'à ses genoux, remet ses mains sur ses hanches, s'installe sur le lit et la soulève pour qu'elle soit au niveau parfait pour lui donner un long coup de langue. Sa langue plonge à l'intérieur d'elle alors qu'elle se balance sur la pointe de ses pieds.
"Ah, Jean," crie Mikasa en tombant à sur ses coudes. Le grondement agacé avec lequel il lui répond vibre contre elle. Elle frémit, le visage dans son oreiller qui ne sent pas vraiment comme lui puisqu'il a à peine dormi dedans depuis leur retour.Sa langue glisse sur elle par des coups entraînés, glissant à travers son humidité et la sortie s'échappe pendant qu'il la stimule .
Il suffit qu'il suce son clitoris pour la pousser à bout. Il tient ses cuisses pendant qu'elle secoue, la descendant lentement sur le lit. Il lui permet de tomber sur son ventre,prenant un chiffon et la nettoyant.
Elle permet à son épaule de guérir, en haussant les épaules, maintenant indifférente au sang qui la tachera sûrement. Il touche ses cheveux et presse ses baisers au bord des marques de morsure. Elle lutte contre le sommeil même si elle en a vraiment besoin.
«Dors», dit-il d'une voix rauque. "Je vais te couvrir."
Elle n'a pas besoin de s'assurer qu'il le fasse. Elle le connaît sur le bout des doigts alors elle se tait et elle dort.