Chapitre 2

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Prenant son petit déjeuner, le silence contrôlant la maison. Martha s'était endormi sur le canapé. Le père d'Oliver, Darwin, n'était pas rentré et Oliver était plus qu'inquiet. Il avait un tas de questions à poser à sa mère; mais patience est mère de toutes les vertus, ce n'était ni le moment et elle n'avait ni le moral pour ça. Il était très tôt, environ sept heures et demi du matin; un samedi, mais c'était une habitude pour lui de se réveiller tôt. Il termina ses tartines.  Quitta la cuisine et passa vers le salon, s'arrêtant quelques minutes pour regarder sa maman avec tristesse et remonta silencieusement l'étage à la salle de bain. Fermant la porte à clef, il se regarda dans le miroir les mains à chaque côté du lavabo en béton ciré. Oliver est un grand homme, mince. Avec de courts cheveux noirs et aux yeux brun foncé, comme sont père. Et possède un teint brun, comme sa mère. Il se brossa les dents et se dirrigea vers sa chambre juste après.

*Quelques heures plus tard*

Après avoir réviser. Oliver se dirigea vers son lit, prit son ordinnateur et se mit a parler avec son ami d'Angleterre Julian Arthur Stonem. Ils ne se sont jamais vu en vrai, l'histoire de leurs cyber rencontre était des plus étrange.

" Je ne me suis jamais senti aussi mal, Lui a t il écrit sur facebook.

Aprés cinq minutes sans réponce, Julian répliqua

- Alva t'a rejeter ?

Ceci gêna Oliver, qui retoqua

- .... non, mon père a quitter la maison hier et n'est pas rentré après qu'il se soit disputer avec maman pour je ne sais quelle raison...

Soudain, la porte de sa chambre s'ouvrit pour laisser apparaître Martha; qui avait une tête d'enterrement.

- Oliver, j'imagine que tu te demandes ce qui c'est passer hier. Avec ton père..., com elle. Et c'était évident qu'il avait des tonnes de questions à lui poser, mais il ne voulait pas la brusquer.

- En effet, répondit il.

- eh bien..., elle s'assit sur son lit. Quand ton père est parti travailler hier, disons que j'ai eu.... une aventure avec un homme.

Oliver avec les yeux écarquillés, la bouche entre-ouverte, garda le silence. Quand à Martha, elle larmoya.

- Pourquoi.... ?, demanda il. Pourquoi tu as fait ça ?! Mais qu'est ce qui t'a pris !?. Haussa-t-il

Cette fois elle pleurait pour de bon

- J-je.... m-me sentais rejetée, comme si il ne m'aimait plus. Je ne sais pas ce qui m'a pris..., baigaya-t-elle.

Oliver mis sa main devant sa bouche et retena quelque chose, des toux peut être. Tout d'un coup, il courra aux toilettes et se mit à vomir, tousser... et ainsi de suite. Martha, apeurée, marcha doucement vers lui et lui demanda " es-tu malade ?" Elle mis sa main sur son front chaud, mais il ne la laissa pas . Il lui dit

- ne me touche pas... je te croyais mieux que ça, il se brossa les dents puis parti dans sa chambre mettre ses vêtements de sortie : un jean, un pull gris, des converses noires et un grand, chaud manteau noir. Il se dirrigea vers la sortie, pris ses clès et au moment où il allait ouvrir la porte, il entendit sa maman lui demander

- où vas tu ?

- quelque part, répondit il

- tu es malade, tu dois rester à la maison. Ordonna-t-elle

Il grinça des dents, se retourna vers elle et lui dit

- je ne veux plus que tu te mêle de mes affaires. Et il sortit en claquant la porte.

- je suis toujours ta maman ! Que tu le veuilles ou non..., cria-t-elle.

Marchant nul part en particulier, ne regardant pas où il allait. Il était plus que contrarié; sa mère, son père, lui... et il avait même oublier Julian ! Au moment où il devait traverser la route; feu rouge pour les voitures, vert pour les passants, il ne prit même pas la peine d'observer la route pour voir qu'une voiture se dirrigeait vers lui en hâte jusqu'à ce que " OLIVER ! ATTENTION !" Cria quelqu'un.

Il leva le regard vers la voiture avec surprise et, affolé, se précipita de courir à l'autre bout de la rue et regarda la voiture s'écraser dans un murs, les femmes protégeaient leurs enfants, les hommes regardaient la scène avec surprise et les adolescents criaient; c'était la panique générale. Une fille, familière pour Oliver, criait aux passants " Appelez la police ! Une ambulance ! Ne restez pas coincés comme ça !" Ce que fit quelques étrangers, affolés. Quand elle se retourna face à Oliver. Il l'a tous de suite reconnu; cheveux blonds, yeux bruns, svelte et de taille moyenne. " Alva ?"

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