|| Chapitre 2 : Alliée ||

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*.* Lundi Après-midi *.*

Un cris s'échappa de ma bouche.
Il sauta contre moi et à juste 3 centimètres de mon visage il fut stopé par quelque chose .
Je regarda derrière lui , son " pieds " était bloqué dans un bloc de glace qui se répandait petit à petit sur son corps jusqu'à le geler complètement .

Je regarda son " visage " mais il était figé comme si le temps s'était arrêté .

Il se brisa en mille morceaux avant de disparaître avec les fragments de glace .

Mon stress retomba petit à petit .
Je n'en cru pas mes yeux , tout ce qui était arrivé cet après midi était tellement surnaturel...

Ma mère m'appela pour manger donc je descendis avec un brin de stress qui pinçait mon cœur d'une force effroyable .

Une fois arrivée en bas je demanda à ma mère :
- maman tu vas bien ?
- oui pourquoi ?
- comme ça ... Et papa tu sais si il va bien ?
- je l'ai appelé avant et il m'as dit qu'il rentrerait tard .
- d'accord merci.
Une fois avoir fini le dîner , je rentra dans ma chambre et j'appela Olivia.

...
Elle mît un moment à répondre.
- Oui allo?
- Olivia ! Je me suis fait attaquée par une bêtes super bizarre on aurait dit qu'elle avait un corps de sauterelle humaine avec plein de pinces partout et plein de d'autres truc trop louche !

- mmm... Ah je vois de quoi tu parle , moi je les appelle les étrangleur parce que une fois y'en a un qui m'a soulevé par le cou et a essayé de me transpercé avec une de ses pinces pointues.
Charmant n'es-ce pas ?

~ On dirait qu'elle parle de ça comme si c'était normal...

- mais Olivia c'est dégeulasse ! Et t'as fait quoi ensuite ?!
- je l'ai immobilsé avec des ronces et je l'ai crevé. Mais bref , explique moi comment t'as survécu .

- et bien... il a été congelé et il s'est brisé avant de disparaître sans laisser de traces .

- et tu n'as rien fait pour provoquer cette glace ?
- non absolument rien ...
- écoute moi bien , c'est sûrement quelqu'un avec d'autres pouvoirs surnaturels que moi et Clem qui te protège .

- d'accord , c'est un peux plus rassurant que si je risquais de mourrir toutes les 2 minutes...
- Clara ?...
- oui quoi ?
- dès que je suis avec toi je sens une grande quantité d'énergie , beaucoup plus forte que celle de Clémentine et moi.
- oh non si c'est bien ce que je pense ...
- je pense que tu as un pouvoir encore plus puissant que nous , comme si tu renfermait un élément encore plus puissant que les notre.
si tu /n a un t/ v/ dev/ir t/ ba//re

La liaison se coupa brusquement comme si on m'empêchait d'entendre les mots de mon amie.

Il commençait à faire nuit et j'avais une grande envie de sortir dehors car l'air me semblait peser des tonnes .

Je descendis de l'étage , pris mon manteau et sortis par la porte de derrière sans rien dire à ma mère qui était en train de regarder la télé comme si elle venait de faire une grande découverte.

L'air était frais et il faisait bon de sortir.
Les oiseaux commençaient à s'endormir .

Je m'asseya par terre et je me mis à pleurer , avec tout ce que je venais d'apprendre ma vie allait être boulversée à jamais .

Mes larmes coulèrent comme une rivière qui ne cessait de couler.

Des averses et des orages se mirent à tomber du ciel soudainement.

Il faisait nuit noire et une petite flaque en face de moi se mît à s'animer , elle se leva comme ferait un humain normal.

L'eau se transforma en un corps d'une magnifique femme blonde d'environ 23 ans , sa beauté était foudroyante.

- Bonjour maîtresse ne vous iniquiètez pas , je serrait prête à donner ma vie pour vous .

La femme se méthamorphosa en une simple flaque comme beaucoup d'autres .

Cette rencontre était quelque peut , originale .

Je ne me posa aucune question , tout ce qui était arrivé aujourd'hui était tellement perturbant que rien ne pouvait plus m'étonner pour l'instant.

Je rentra à la maison je dis bonne nuit à ma mère et j'alla enfiler mon pyjama pour aller dormir .

Le tiroir ouvert où trônait le livre dont on m'avait cadeau , était encore ouvert mais j'étais à bout de force et donc pas dans la capacité de le fermer .

Je fermais les yeux et me coucha dans mon lit de mille plume.

Une voix de petite fille retentit : meurs espèce de garce.

Une force me cloua contre mon lit comme si le monde s'écrasait contre moi .
Je sentis comme si tout mon corps faisait des hémorragies internes et externes .
Je cria de toutes mes forces pendant que mon corps souffrait le martire .
Je perdus connaissance au bout d'une dizaine de seconde en laissant un soupire derrière moi .

ʟєṡ єʟєṃєṅṭṡ Ԁȗ ṅєѧṅ [ en pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant