☞︎︎︎ 𝙱𝚛𝚒𝚜𝚎́ ? |

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Hey hey hey,
J'ai écris la moitier de ce chapitre sur du Billie Eillish du coup je trouve que sa vas bien avec. J'ai mis "My future" de Billie Eillish en média et sa fait peeetite vibes Billie Eillish bien comme il faut. Bon ben bon Chapitre !!
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Satori esquissa un sourire et je fis de même. Si il savait ce qui me rongeait depuis quelques temps, peut être que je me surestimais...

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Pour la troisième fois de la nuit je me réveillais en panique, toutes mes réflexions, tout mes complexes, tout mes problèmes, je le vivais mal. 

Souvent dans ces situations, mon cœur se serrait, ma respiration se bloquait et je pleurais. En silence, seul.

Cette vie était si artificiel, je sais que ce n'est pas ma vrai vie, que ce n'est pas mon monde, j'ai peur de ce qui pourrais m'arriver, de mon avenir, de mon futur. 

Est ce que mes amitiés sont artificiels parce que je connaissais déjà qui ils étaient ? 

Est ce que je suis devenu amis avec Satori parce que je connaissais le personnage qu'il était dans l'animé que j'ai vu, que je me suis rapprocher par intérêt. 

Et si ma mère venait à mourir, mon père deviendrait-il violent à nouveau. 

Je ne me sens toujours pas à ma place. 

J'ai l'impression d'être dans un film dont je ne connais pas la fin mais certaines parties. Alors que dois-je faire? 

Leur dire, ma superficialité, mon sourire qui pouvait sonner faux, ma connaissance de leur futur.
Est ce qu'ils m'écouteraient ? 

Dois-je changer ce futur que je redoute tant ?

Je suppose que non mais à chaque fois que je tente de penser à autre chose les doutes ressurgissent, je tente pourtant d'être heureuse mais je me contente de m'autopersuader de cette joie factice. 

Pourtant il y en a un que j'aime, je n'aimerais pas le perdre, les regards qu'ils me lance, son sourire. Mais si lui m'abandonner ? 

Toutes ces réflexions qui m'ont font tellement souffrir. 

J'en pleure la nuit, j'en pleure. 

Même si le matin rien ne paraît, je pleur. 

Mes doigts me font mal, n'ont seulement dû au volley mais aussi de ce problème récurrent qui fait disparaître mes doigts. Ça me brûle, sa me ronge, sa me tue, a petit feux. 

Pourtant tout vas bien dans ma vie, mes parents m'aime, j'ai quelques amis et je vais bientôt passer titulaire à mon Club de volley. 

Hélas je me sens mal, je ne me sens pas chez moi et je pleure, je pleure, je pleure. 

Je ne sais pas ce qui cloche chez moi. 

Si je me réfugie derrière ce sourire parfois sadique, amusé, tendre c'est que j'ai peur qu'on me laisse, qu'on m'abandonne. 

Je ne veux pas être seul, j'ai peur d'être seul, j'ai peur de mon futur. 

Malheureusement j'ai jouer à ce jeu trop longtemps puisqu'un jour le roi en personne a pu détruire ma façade avec une simple phrase. 

Il y a une semaine tout c'est produit, le tournois était la semaine d'après. 

Nous étions venu à Aoba Josai, pour un match d'entrainement. 

Ils étaient réputés et avait une recrut depuis maintenant presque deux ans qui était excellent en passeur. 

J'ai eu l'autorisation du coach pour être titulaire attaquante ailiers, j'étais contente alors avant le match, je me bandais les doigts à l'aide de sparadraps. 

꧁ 𝔻𝕖𝕦𝕩 𝕞𝕠𝕟𝕤𝕥𝕣𝕖𝕤 ℙ𝕖𝕦𝕧𝕖𝕟𝕥 𝕊'𝕒𝕚𝕞𝕖𝕣 ꧂ˢᵃᵗᵒʳⁱ ˣ ʳᵉᵃᵈᵉʳOù les histoires vivent. Découvrez maintenant