poésie journalière 11

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Ô terres étrangères ou l'amour abonde
Devenez mon ciel
Devenez mon monde

Que demain plus rien ne soit haine
Sur l'instant je brise mes chaînes

La rancoeur et la tristesse,
La calomnie et la paresse,
Toutes en bloc je les confessent

Mais maintenant loin de moi
Ces sentiments qui m'ont tenus loin de toi.
Vient à moi petit enfant
Qui joue avec le vent !

Ton rire et tes geste m'enchantent
Ton enfance est hilarante
Ton innocence est adorable
Ton insouciance est agréable

Dans ces terres où l'amour abonde
Petit enfant tu es le symbole
Que tout les hommes ne sont pas immondes
Et certain te payent une obole.

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