Quatrième jour

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PDV Léozangdar

Je me réveille sur le sol froid qui, dans mes souvenir de la veille, est le sol de la base d'Aypierre.

Je vois sa tête perché au dessus de la mienne qui est encore sur le plancher.

Il me prend et colle mon dos sur des boule de slim. Je ne peut bouger qu'un bras. Il me tant une pomme que je prend car je n'ai pas mangé depuis hier matin.

-Depuis quand es-tu "amical"? Je venais de lui poser une question qui allait peut-être le frustré.

-Depuis que tu devra rester en vie jusqu'à ce que Siphano et sa bande de lutins débarquent. Me répondit-t-il sur un ton étrangement calme.

-Pourquoi "Jusqu'à"?

-Parce que je compte te tuer devant lui et les autres nains.

Je lâcha la pomme qu'il venait de me donner de peur d'être encore pris avec du poison dans le corps.

Mes genoux se mirent à trembler de peur. Je ne pouvais plus me montrer insouciant envers les gestes meurtriers qu'il allait affliger à mes meilleurs amis.

Je me demandais ce que je pouvait faire pour empêcher tout ça, mais l'inspiration était surmonté par la peur. J'était décourager et à bout de souffle. Je n'arrivais pas à respirer.
Jusqu'à ce que Aypierre lu les faits saillants à voix haute:

-Banano à été tué par Superbrioche
Unster à été tuer par Xef
Azenet à été tuer par Siphano

Ils étaient trois de moins!

-Tiens tu vien de perdre ton sourire sadique tout à coup.

Il s'approcha de moi et leva son épée puis...

PDV Frigiel

Je dit à Siph de laisser tomber. Sauf que je ne lui dit que puisqu'on à tuer trois membres en une journée il doit déjà s'être vanger sur notre Léo.

-Je refuse de tuer une personne de plus pour ce mec!

-Je sais Siph, mais on a pas le choix.

Il retourna dans sa chambre. Je crois qu'il est vraiment déstabilisé. J'espere que ça ira mieux dans quelque jours sinon il ne tiendra pas longtemps.

PDV Siphano

Je suis dans ma chambre et je ne veut plus avoir à sortir. Plus avoir à tuer mon entourage. Plus avoir à vivre loin de ma chérie. Plus avoir à vivre cet enfer. Je veut juste retourner chez moi.

Soudain, deux petits moi apparurent sur mes épaules. Un ressemblais à un ange et l'autre ressemblais plutôt à un diable. L'ange pris la parole en premier:

-Bonjour, nous sommes ta conscience. Je suis le bien et lui le mal.

-Nous venons te donner notre opinions . Rajouta le mal

-Je crois que tu devrais tout faire pour tes amis. Dit l'ange

-Moi je dit que tu devrais te barrer et les laisser crever! Dit ensuit le diable

-Mais c'est cruel! Tu n'est qu'un sans coeur! Lança le bien

-Minute ! Tu parles de moi je te signal. Dis-je pour me défendre

Comme si ils ne m'avait pas entendu mes deux bout de conscience commencèrent à se lancer des insultes.
Je claquas des doigts et ils disparurent. Je savais ce que j'allais faire.

PDV Aypierre

J'était sur le point de tuer Léo mais j'abattit mon épée juste à coté en repensant à mon plan: le tuer devant Siphano et sa bande de fanfaron ce soir dans la forêt.

*Tard le soir*

PDV Siphano

Tout le monde dort donc je sort dehors en prenant soin de refermer la base. Je me dirige vers la forêt. Je n'était jamais sortit de la base pendant la nuit et j'étais encore plus effrayer.

J'entendit des voix, mais quand je me suis retourner, Fukano et Bboy étaient déjà en train de m'agripper les bras et me traînaient par terre.

Quand ils me lâchèrent enfin ils m'attachèrent à un arbre. Il y a plein de torche donc ma vue prend du temps à s'habituer et quand je vois clairement je me rend compte que Léo est attaché à l'arbre en face de moi. Aypierre s'avance vers lui épée à la main. Il la lève et...

-LÉO !!!

Aypierre venait d'abattre son épée sur le corps de mon ami. Je tomba en larmes.

Quand je m'étais un peu calmé, la bande du tueur devait déjà être de retour à leur base. Je me débâtit pour retirer les cordes. Après quelque minutes, elles fendirent et je me précipita sur la dépouille de mon ami et resta à ses cotés le plus longtemps que je pu avant que son corps soit téléporter ailleurs.

Je couru à la base. Il faisait clair donc les reste de mes amis devaient être lever. Je passa devant eu le plus vite possible pour qu'ils ne me voient as pleurer et m'embarra dans ma chambre.

Combat à mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant