alors que je refermais la porte de mon coeur, tu as passé ta main,
comme pour me dire de revenir.
un flottement, une légèreté arrachée, assourdissante
noyée dans tes cheveux, étouffée par ton sourire
prise par la foule du désir, le fleuve du désespoir
une odeur, comme le souvenir tamisé de ton regard
je me lasse du vacarme que me provoque ta lumièrele cortex qui déraille
je perçois tes faillesFougue étrangère
Blessure passagère
Amertume sentimentale