le commencement

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PDV de Hiris

Je ne comprends pas pourquoi je devrais être gentil. Les gens savent que je suis colérique et ça ne la dérange pas. Mais vu qu'elle
me l'a demandé je ferai un effort. J'essaierai d'être gentil avec tout le monde sauf avec cette pimbêche. Elle ne mérite pas ma gentillesse. 

Quelqu'un ouvre brusquement la porte de sa chambre. C'est Annie.

- Ça fait 10 minutes que je t'appelle.

- Ah oui désolé je n'ai pas entendu.

- Qu'est-ce qui t'arrive ?

- Rien du tout, qu'est-ce que tu veux ?

- Papa veut nous parler.

- Vas-y je vous rejoins plus tard.

- Pas plus tard maintenant, allez bouge tes fesses vas-y debout.

- Tu me saoules dégage.

- Je plains la pauvre fille qui devra te supporter le restant de ses jours.

- C'est bon tu as gagné je te suis.

ils descendent et partent dans le bureau de leur père. Il les attendait. Hiris est en colère, c'est la première fois que leur père daigne les parler depuis presque 6 mois. Il travaillait plus pour oublier la leucémie de sa femme. Ce qui fait qu'il accorde beaucoup moins de temps à ses enfants.

- Les enfants je voudrais vous parler de l'état de santé de votre mère. Dit le vieil homme.

- ah oui, un état de santé dont tu ne te préoccupe pas. Dit Hiris en colère.

- Hiris calme-toi. Murmure Annie a son oreille.

- je sais que je n'étais pas souvent présent...

- Souvent, tu n'étais pas là du tout.On a dû s'occuper d'elle tout seul, pendant que monsieur était à ses  voyages d'affaires. Dit-il en avançant vers lui.

- Je...

- tais-toi, tu n'as jamais été là pour elle ni pour nous. Tu ne sais pas ce que ça fait de voir sa mère souffrir, de voir qu'elle a mal sans  pouvoir faire quelque chose. Tu n'étais pas là pour voir tous ses cheveux tombé de sa tête. Tu l'as abandonné tu nous as abandonné. Dit-il en sortant du bureau.

- Je suis désolé. Dis Annie.

- Non, il raison. Je vous ai abandonné. Dit-il en pleurant.

Quelques heures plus tard dans sa chambre, Hiris repense à la journée. À cette fille. Après mûre réflexion, il a réalisé qu'elle n'était pas si moche. Elle était même très belle, avec ses yeux noirs corbeau, son tient chocolat, ses cheveux frisés, ses belles lèvres pulpeuses qui donnent envie d'y goûter...woh mon vieux tu ne vas pas commencer à fantasmer sur cette idiot. Ne recommence plus ça plus jamais.

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            Le Lendemain

Je me réveiller encore en colère contre mon père. Mais j'ai fait abstraction de ça aujourd'hui je vais passer une bonne journée. Enfin je l'espère. si cette idiote arrives à me ficher la paix toute cette journée je crois  qu'elle sera peut-être agréable. Ou pas. Tout dépendra d'elle.

la fille que j'aimeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant