Autobus N.Y // h.s

Chapitre 4

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Il faisait froid, des gens entouraient mon corps. Ils me dévisagaient de leurs regards froids remplient de jugements, ils jugeaient l'être abobinable que j'étais. Celui même qui avait trahie sa famille, s'est propre gène, sont père. Des frissons me parcouraient tous le long de mes bras tendus. Le visage crisper et un regard appreuré ornait l'étendue de ce que l'ont pouvait appeler ma personne. Je revivais cette scène, le jour où toute ma vie a basculée. Il était assis là.

Dérrière ce bureau en bois poli. Cette endroit même qui rassurait le peu de bonté qu'il me restait envers cette individu. J'étais rassuré de voire que peu importe, j'était en sécuritée. Du moins c'est ce que je croyais. Mais même un bureau modeste, entouré de pratiquement l'armé canadienne. Qui avait su juger des milliers de criminels plus horribles les un des autres, ne pouvait me préparer, me protéger de ce regard. Personne. Personne ne m'avait averti.

Je ne savais pas. Pas avant d'avoir vue ce regard. Rempli de toutes la haine, dégouté, désonorer et surtout bléssé, trahi qu'il ma lancé. Plus le temps avance plus le souvenir de cette journée devient vague. Embrumait par le temps. Mais ce regard hante mes nuits. Mes jours. Je ferme les yeux. Je revoie ces yeux remplis de détresse qu'il ma donné avant que je ne m'enfuie pour prouver a tous la lâche que je suis. C'est le dernier souvenir que j'ai de lui. Qu'il ma offert. Je ne mérite pas mieux. Je m'enfuie. Perdue dans ce cahos. Je suis perdue. Je hurle mon désespoire en me mettant en boule. Luttant contre la noirceur qui tente de m'envahir. Chassant ces pensées néfastes. Je me protège. Je survie comme j'ai toujours fait. Je ne sais plus qui je suis. Je crie "Au secours" mais personne ne répond à mon appel de détresse. Je suis perdue. Personne ne viendras m'aider maintenant. Personne n'aident les monstres.
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Je me réveille en sursaut, couvert de sueur je tente temps bien que mal de contrôler ma respiration saccadée. Je ferme les yeux. Puis concentre tout mon énergie, en chassant ces derniers souvenirs qui fusent dans mon esprit pour faire disparaître cette horrible journée. Comme si je pouvais oublier. Mes démons me rattrapent toujours. J'ai beau courrir. Fuir. Ils sont là. Ils ont toujours une longueur d'avance.

Comment échapper à la partie la plus sombre de vous? Comment contrôler la bête qui somnolent en vous, attendant tranquillement votre moment le plus vulnérable pour prendre contrôle de votre être complétement. Le pire
Dans tous cela. Ce n'est pas de me savoir assombrit, maintenant liée au cotée sombre de ma personne ne fesant plus qu'un avec mon monstre, l'ombre de moi-même. Non ce n'est pas ce qui m'éffrait le plus. Ce que j'ai en horreur c'est de savoir que les ténèbres sera tellement accroché à ce qui reste de moi. Feras tellement partie de moi. Que ce jours là je ne me rendrais même pas compte de ce qui m'arrive. Parce que j'aimerais sa. Ma combativité seras raillé d'un simple coup de main. Je ne me battrais plus.

Je m'arrache péniblement de ce simple lit. Qui selon plusieus avis professionelle ne passerais pas le test de salubrité. Je dirige mon corps douleureux vers la salle de bain. Ramassant mon téléphone au passage, je vérifie mes messages et regarde l'heure.

3h00 du matin s'affiche sur ce petit écran. Je le ferme tout en soupirant. Encore un cauchemar. Heureusement mes cries ont césser et maintenant je vie seulement ce moment de ma vie qui pourtant j'aimerais pouvoir éffacer. Oublier. Impossible. Généralement je me réveille en sursaut comme un peu plus tôt. Avant je me gobais de médicaments pour tenter vainement de me débarasser de se passé troublant qui me suit s'en arrêt. Détruisant tous sur son passage. Sa la mal tourné. Mais je vais bien maintenant du moins mieux qu'avant...

Je regarde mon visage dans la glace. J'ai une tête à faire peur. Mais cheveux en désorde sont totalement indontable. Mon visage ne semble pas fatigué. Du moins physiquement il ne garde aucune séquelle de cette nuit agitée. Mais intérieurement, je suis épuisée, brisée totalement perdue. Je suis détruit par mes actes passée. Cela se voit dans mon regard. Je l'apperçoit derrière cette peau de porcelaine, c'est cheveux blond s'est prunelle d'un bleu profond. C'est yeux même d'une profondeur, assombrit par cette tristesse infinie. Lorsque je baisse la garde. Que je laisse de coté cette carapace énorme où je cache mes émotions. Cette armure de bétons que j'ai fabriquer pour me protéger d'être bléssée à nouveau. Je me cache en-dessous en permanence. Mais dans des moments comme celui-ci. Je peux appercevoir ce trouble constant qui bouillonne en moi, a la recherche de réponse. Je m'observe et compte jusqu'à 10.
1
2
3
4
5
5
7
8
9.....
1......
Je ne peux pas. Je suis incapable de regarder qui je suis pendant plus que 10 seconde. Je ne me reconnais plus. Je tente cette exercice tous les matins. C'est devenue une partie de mon quotidien. De ma routine. Depuis aussi longtemps que je me souvienne. Je n'est jamais réussie à pouvoir me regarder dans un mirroir plus de dix seconde. D'observer ce que je suis. Maintenant. J'en suis tout bonnement incapable.