Épilogue

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Apres la bataille, j'ai emménagée dans une maison de campagne avec Drago bien sûr. Le juré du ministère avait jugé bon de ne pas le punir de ses actes de mangemorts étant donné qu'il n'avait commis aucun crime et qu'il avait retourné sa veste pendant la bataille.

Etre temps nous nous étions mariés, un magnifique mariage à notre effigie.  Des roses rouges avaient été soigneusement choisis pour l'occasion c'était un jour formidable, nous avions eu ensuite deux merveilleux enfants, toi, Scorpuis et toi, Lucina.

Pour l'annonce de ma premiere grossesse, j'avais gravé un biberon sur une belle rose rouge que j'avais offerte à votre père, il a sauté de joie pendant deux heures au moins.
Malheureusement un beau jour, il est tombé malade comme beaucoup des survivants de la bataille. L'état poussiéreux du château lors de celle-ci avait laissé pas mal de séquelles. Il s'est battu contre cette maladie, il a fait tout son possible pour s'en sortir et moi aussi mais du haut de ses trente ans, il est mort, il avait succombé à la maladie. J'en avais informé les secours, ils étaient venues le réanimer mais il n'y avait plus rien à faire. Je me suis retrouvé avec deux enfants en bas âge à ma charge, souvent j'ai pensé à tout laisser tomber puis, j'ai pensé à vous et vous m'avez aidé à tenir. J'ai souvent pleurer le soir en cachette pour ne pas vous effrayez, il n'y a jamais eu un jour sans que je ne repense à lui, il me manque tellement, si seulement il était encore là pour vous voir. Il serait si fier de vous, il m'a souvent répété qu'il avait peur d'être comme son père, mais il ne l'a jamais été, il s'est occupé de vous et de moi chaque jour de sa vie, il faisait passer notre bien-être avant le sien. Mais la vie en a décider autrement.

Si je vous raconte l'histoire de notre rencontre aujourd'hui et que je ne vous l'ai jamais raconté avant, c'est parce que cela me faisait trop mal, je n'en avait pas la force mais aujourd'hui, je suis sur mon lit de mort. Je me suis battue également pour vous face à cette même maladie mais elle est trop puissante. J'ai commencé à en développer les symptômes peut après la mort de votre père, je vous l'ai caché également pour encore une fois ne pas vous faire peur. J'ai réussis à tenir longtemps, je vous ai élevés, éduqués avec le plus grand soin possible. Tout ces efforts pour au final vous abandonnez quand même du haut de mes quarante-cinq ans.

"On t'aime maman"

"Surtout veillez l'un sur l'autre et racontez cette histoire à vos futures enfants. Dites vous que la haut je retrouverez votre père, enfin.
Je vous aime très fort"

Serait-ce toi ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant